A la découverte d'un monde inconnu. (9) - Histoires de Sexe

A la découverte d'un monde inconnu. (9)

... dressé. Alice pince légèrement Julie qui ouvre les yeux ; des regards complices s’échangent. Elle se jette littéralement sur Manu et l’embrasse fougueusement tandis qu’Alice s’efface et s’assoit à côté d’eux. Julie allongée sur Manu, le dos et les fesses caressées par les mains d’Alice la stimulent. Se laissant glisser à califourchon sur les cuisses de Manu, elle atteint les tétons, les mordille, investit le nombril, gobe le sexe tendu. Elle se redresse, remonte. Les sexes se touchent ; celui de Manu glisse dans sa fente. Un intense désir de pénétration l’envahit, mais cette crainte qui la ronge revient, elle tremble. Alice le voit, prend la main de sa fille, en place une sous ses fesses, l’oblige à se soulever ; l’autre main passe entre ses cuisses, attrape le sexe de Manu, le positionne à l’entrée du vagin. Julie descend un peu puis se bloque. Alice lui enserre le cou, la main sur l’épaule, l’embrasse avec fougue, profite de cette diversion pour la forcer à descendre. Le sexe de Manu s’enfonce dans la corolle ; l’hymen cède. Julie pousse un cri. Alice lâche sa fille ; son regard s’illumine. « J’y suis arrivée ! » se dit-elle, et elle se laisse doucement descendre le long du phallus. Manu est aux anges. À la limite de l’éjaculation, il se retient, espérant que leur premier orgasme soit commun. Julie est assise sur Manu sont le sexe est enfoncé au plus profond d’elle ; la douleur à quasiment disparu, la jouissance monte en elle. Elle s’allonge sur Manu, l’embrasse tendrement, ...

... et les corps ne font plus qu’un. Alice est heureuse ; elle se penche, et tout en caressant les fesses de sa fille leur chuchote : — Tous mes vœux de bonheur ; je vous laisse. Elle les embrasse tendrement, quitte la chambre, descend, s’installe au salon, se sert un verre de rosé et s’enfonce dans de profondes méditations. Julie, toujours allongée sur Manu, savoure son plaisir. Manu prend alors les choses en main : toujours en elle, il la retourne et entame un lent va-et-vient, puis accélère ; il sent le plaisir monter en lui. Les coups boutoir et un puissant jet de sperme font exploser en elle un orgasme qu’elle n’a encore jamais connu. Plus tard, on pourra lire dans le «cahier d’histoires » écrit par Julie : « Aujourd’hui est un jour exceptionnel, pour moi et Manu. Pour moi parce que je vais m’offrir à lui que j’aime ; j’avais décidé cela depuis longtemps. Connaissant toute l’histoire de ma mère et de ses galères, je m’étais forgée à cette idée : je ne voulais pas vivre la même chose. J’avais peur de la douleur, convaincue par les récits des copines de lycée qui prétendaient l’avoir fait : il était évident que cet acte se faisait dans la douleur ; moi, pas téméraire pour deux ronds, je m’en étais abstenue. Me retrouver avec ce corps étranger en moi me filait de l’urticaire, certainement aussi grâce aux élégantes réflexions des garçons du lycée du genre « Tu viens, ma jolie, que je te foute ma bite dans la moule ? Allez, viens baiser ! » où pour moi le mot « bite » me renvoie ...