A la découverte d'un monde inconnu. (9) - Histoires de Sexe

A la découverte d'un monde inconnu. (9)

... senti une vague de plaisir m’envahir : le fameux point G. Il est vachement bien, ce point G ! La verge de Manu semblait être juste à la bonne dimension, je la sentais partout dans mon fourreau ; elle est entrée en entier en moi. Je me suis allongée sur lui, je voulais rester comme cela sans bouger, mais pas lui. Il m’a fait rouler sur le dos et s’est activé ; à chaque va-et-vient, c’était l’extase. J’ai écarté les jambes au maximum pour qu’il puisse rentrer le plus profond possible. D’un coup l’orgasme est arrivé, tel un TGV : je vibrais, je me tordais, mon vagin s’est brutalement contracté avec un telle force que j’ai senti un flot de liquide m’envahir. Un plaisir immense nous a envahis. Nous sommes restés ainsi sans bouger un long moment à nous embrasser, puis je crois qu’on s’est endormis. Dans la nuit, j’ai été réveillé par des caresses ; c’était Manu. Il s’était levé pour aller auxtoilettes et n’arrivait pas à se rendormir. Dans la pénombre des rayons de la lune, il passait ses mains partout sur moi en me regardant dormir. Je finis par me réveiller ; je me suis étirée. — Tu t’étires comme une chatte, ma chérie, m’a-t-il dit en me faisant un bisou sur la bouche. — Tu ne dors pas ? — Je me suis levé pour aller faire pipi, et je n’arrive pas à me rendormir : j’ai trop de trucs qui tournent dans ma tête. — Tu n’es pas content de ce que j’ai fait ? — Oh si, si, tu parles… Si je m’attendais à ça… Toi et ta mère, vous êtes de vraies furies. Mais pourquoi tu l’as fait ? Tu m’as ...

... toujours dit que ce serait pour l’élu de ton cœur. — C’est le cas, Manu, tu as tout compris. vlhvmmej J’ai pris sa tête à deux mains et je l’ai embrassé comme maman me l’avait fait. Je me suis allongée sur lui. Son sexe en début d’érection, emprisonné entre nos deux ventres, je le sentais gonfler entre nous. Je suis remontée ; il s’est libéré, effleurant mon clitoris. Je suis alors redescendue doucement ; son gland est entré en moi. J’ai continué à descendre ; j’ai senti cette vague de plaisir, comme la première fois. Je suis descendue, assise sur ses cuisses ; plus rien ne rentrait, je sentais lespoils de ses testicules me chatouiller le vagin. Je me suis allongée sur lui, l’ai fait rouler, les jambes largement ouvertes. — Allez, Manu ; allez, mon chéri, mets la gomme, envoie-moi au ciel, lui ordonnai-je en lui envoyant une magistraleclaque sur le cul. Il a commencé à bouger doucement ; c’était doux, c’était bon. Il a continué plus vite ; c’était fort. J’avais mes mains sur son dos, il avait chaud. Il a encore accéléré ; c’était violent. L’orgasme est arrivé tel un boulet de canon, puissant, violent ; j’avais des convulsions. Mon étui s’est serré. Il continuait ; mon orgasme continuait. D’un coup, il s’est arrêté. J’ai passé mes jambes derrière lui, je l’ai bloqué au moment où il était en train de se répandre en moi. D’une main, j’ai attrapé le drap poussé sur le côté et l’ai jeté sur nous, et nous nous sommes endormis comme ça. Le lendemain matin, maman n’était pas dans le ...