A la découverte d'un monde inconnu. (9) - Histoires de Sexe

A la découverte d'un monde inconnu. (9)

... l’image de cette espèce de gros cylindre servant à amarrer les bateaux aux quais des ports. Tout ceci m’avait renforcée dans mon idée. Je réservais donc ma minette (c’est plus élégant que « moule », n’est-ce pas ? » à celui qui serait l’élu de mon cœur, celui avec qui j’allais tout partager. Donc aujourd’hui, c’est décidé : je le fais. J’ai la trouille, mais je vais le faire ; je suis folle amoureuse de lui. Je crois que si maman l’avait mis dehors, je serai partie avec lui ; et pourtant, ma maman c’est la chose la plus précieuse que j’ai au monde. Maman m’avait promis de m’aider : elle l’a fait. Certains diront « Ils sont complètement fous, dans cette maison ; ça ne se fait pas, c’est de l’inceste. Au pilori, sorcières ! » Moi, je trouve que maman a bien fait, et elle a joliment réalisé nos préliminaires ; ça, je vais le mettre en pratique : ses caresses étaient sublimes. En principe c’était presque la même chose que ce qu’elle m’a déjà fait, mais elles avaient un goût différent. Elle a su me mettre en confiance ; un peu forcée, c’est vrai ; et heureusement : si maman ne m’avait pas appuyé dessus, le kiki de mon Manu aurait fané depuis. Je me souviens de ces préliminaires, ces caresses d’une douceur exquise, ces doigts qui connaissent tous les endroits sensibles, qui sont capables de déclencher le désir. D’un coup il est venu, et c’est là que j’ai sauté sur Manu ; j’étais en train de devenir folle, j’étais enivrée. J’étais possédée par cette envie de me faire posséder ; ...

... jamais je n’avais connu cela avec nos jeux et nos vidéos nulles à chier ; même les masturbations qu’on se faisait. Quand je me suis allongée sur lui, je sentais son sexe dur et chaud imprimé contre monpubis ; j’y ai mis tout mon poids pour mieux le sentir. Après, je suis descendue vers son ventre, je lui ai mordu les tétons. Je sentais tout son corps vibrer sous moi ; ses mains me caressaient gentiment les fesses et le dos, et celles de maman aussi. Je lui ai ensuite quasiment avalé le sexe en entier. Il a buté au fond de ma gorge ; j’ai failli vomir, mais je l’ai enduit desalive : maman m’avait expliqué qu’il est bien de laisser un maximum de salive pour faire glisser. Je me suis redressée, j’ai remonté en me laissant glisser le long de ses cuisses ; ma minette a emporté son sexe au passage. Il glissait dans ma fente, j’étais trempée. Il frottait entre mes lèvres, c’était doux, c’était bon, et au moment de venir prendre ce membre tant désiré, j’ai bloqué. Impossible de bouger plus : j’étais en panique totale. Maman s’en est aperçue. Elle est venue à mon secours : elle m’a soulevée, a placé l’engin juste là où il faut ; je sentais son gland toucher l’entrée de mon vagin. J’étais paniquée, et c’est là qu’elle ma roulé une pelle en m’appuyant dessus. Grâce à son subterfuge je suis descendue, l’hymen a cédé. J’ai eu un peu mal, mais ce n’était rien à côté du plaisir qui était en train de m’envahir. À un moment, un truc bizarre s’est passé, mais c’était exquis ; à un moment j’ai ...