1. Les vacances de Loubna


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, alliance, gros(ses), grosseins, facial, Oral fgode, pénétratio, fsodo, jouet, attache, humour, totalsexe,

    ... sœur, autant qu’on le fasse aussi dans le lit conjugal. Je sortis tous les jouets dont notre couple était friand, les godes, les menottes et j’attachai Loubna en croix sur le lit à barreau. Celle-ci, malgré tout un peu inquiète, se demandait à quelle sauce elle allait être mangée. — Samira adore être soumise ainsi à mes désirs, lui dis-je en guise d’explication. Il m’arrive de la faire jouir comme ça pendant des heures en lui enfonçant tous ces jouets dans la chatte, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et qu’elle m’implore de finir par la baiser. Quand Loubna vit la taille du plus gros gode, elle se mit à blêmir. Elle n’avait jamais dû essayer de pareils instruments, si tant est qu’elle ait des jouets chez elle. — Ne t’inquiète pas pour le gros noir, Samira c’est son préféré, une fois bien échauffée et bien lubrifiée, c’est celui qu’elle préfère avoir en elle. Il la remplit bien et après l’avoir pilonnée avec ce monstre, je peux même la fister, enfoncer ma main toute entière dans sa belle chatte. Pendant plus de deux heures, j’ai défoncé Loubna par tous les trous, j’ai essayé tous les godes et tous les vibros, comme je le faisais parfois avec ma femme. J’ai fait tout mon possible pour me surpasser, pour lui laisser un souvenir impérissable. Elle a joui je ne sais combien de fois. À la fin, j’étais tellement excité que je suis ensuite venu me branler sur son visage. Après m’être bien fait sucer, j’ai couvert la figure de ma belle-sœur d’une pellicule de sperme gras. Puis ...
    ... j’ai repris mes jeux de godes. Elle n’en pouvait vraiment plus, elle était à bout, alors j’ai terminé par le monstre noir. Contrairement à ma femme, elle l’a englouti sans aucun problème et a joui à nouveau tandis qu’il la transperçait. Elle a fini par demander grâce. Je l’ai alors détachée, elle n’avait plus envie de rien, elle était rassasiée. C’était une loque humaine, elle avait presque du mal à bouger. Elle a voulu que j’aille chercher son hidjab et que je l’aide à se rhabiller, car il était bientôt l’heure et sa sœur n’allait pas tarder à arriver. Tant bien que mal, elle s’est retrouvée à peu près bien attifée et est allée s’asseoir tranquillement sur le canapé du salon pour reprendre un peu ses esprits tandis que je m’occupais de remettre tout en place. / - / - / - / - / Quelques gâteaux au miel plus loin, histoire de recouvrer un peu nos forces, on entendit Samira qui rentrait la voiture au garage. J’avoue que j’étais quand même un peu dans mes petits souliers. J’avais beau me dire que ma femme était à priori d’accord, je l’avais quand même trompée, et plutôt deux fois qu’une. Mais elle est rentrée dans le salon, tout sourire, et elle m’a longuement embrassé. Cela m’a quelque peu rassuré : — Alors qu’avez-vous fait ? J’espère que vous avez passé une bonne journée ! a-t-elle demandé avec une fausse candeur.— Très bonne journée, a assuré Loubna, d’une voix plutôt éteinte. Samira me demanda alors d’aller chercher Nawel, qui s’était endormie sur la banquette arrière de la ...
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