1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (3)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Hétéro

    Quand je le pouvais, je partais voir mes parents. Je ne le faisais pas tous les weekends car le train ça coute cher mais dès que je le pouvais je retournais les voir. Ma mère avait peur que Tonton jacques ne me donne de mauvaises habitudes et je l’ai vite rassuré. Au début, je pensais que personne ne savait pour les photos de charme et j’ai vite compris que Papa le savait. Jacques, son petit frère, lui en avait parlé. Quand on s’est compris sur ce sujet, en plus des filles et du cul en général, une nouvelle complicité était née entre nous. Parfois Maman nous voyait discuter, Ce qu’elle prenait pour une discussion père fils, et elle n’intervenait pas. Au niveau de mes études, ça se passait super bien. Je sortais d’un stage dans une succursale parisienne d’une grande banque d’affaire américaine et j’y ai plus appris sur le monde de la finance et sur ce qu’il s’y passait vraiment que durant toutes mes années de cours. Eux aussi avaient été contents de moi. Mon maître de stage m’avait même écrit une lettre de recommandation et quand je serais diplômé, il était prêt à me prendre à l’essai puis à m’embaucher. Que demander de plus. En attendant d’avoir un boulot fixe et un appartement rien qu’à moi, j’allais pouvoir rester chez tonton. Et heureusement que j’étais là parce qu’une surprise n’allait pas tarder à arriver. C’est arrivé un matin où je n’avais pas cours. Je m’étais dit « je vais me faire une matinée tranquille, réviser un peu, …. » mais durant mon petit-déj, j’ai entendu ...
    ... comme des pleurs après avoir entendu la sonnette de la porte d’entrée. C’est en ouvrant la porte que j’ai découvert un bébé dans son couffin avec un sac à côté. D’abord sous le choc de la surprise j’ai vu une lettre qui dépassait d’une des poches du sac. C’est en commençant à la lire que j’ai compris : « Très cher Jacques, voici le fruit de nos amours. C’est ton fils, il s’appelle Adrien, ….. ». Alors comme ça, j’étais en face de mon petit cousin …. Agé à peine de six mois. Je suis resté accroupi durant plusieurs minutes à lui faire des « mais t’es mignon tout plein toi » ou encore des « gouzis-gouzis » quand j’ai entendu Jacques sortir de sa chambre. — Bon sang mais tu fais quoi à genou, la porte ouverte ? — Figure-toi qu’un colis est arrivé pour toi. — Un colis ? Le facteur est déjà passé ? — Le facteur, j’en sais rien mais la cigogne par contre ….. — C’est quoi cette histoire de ….. Bon sang, mais c’est quoi ce bordel ? dit-il en m’ayant rejoint — Bah tu le vois bien. C’est un bébé. — Mais qu’est-ce qu’il fout ici ce moutard ? — J’en sais rien mais y a une lettre qui t’es adressé. J’ai fait rentrer le couffin et le sac et Jacques a lu la lettre. Après sa lecture, je le voyais se tenir la tête et tirer une tronche de deux kilomètres de long. Visiblement il avait couché avec la mère, une de ses modèles. Elle était en grande difficulté à l’époque et trainait souvent avec des voyous. D’après ce qu’il m’a dit, dans sa lettre, la mère disait avoir fait une bêtise qui allait lui ...
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