1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (3)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Hétéro

    ... par Jacques qui terminait de se rhabiller, qui me disait « Ah ! Tiens … t’es là ? ». Il la raccompagna et, tout penaud, me regarda comme un gamin s’étant fait pincé après une bêtise. — Quoi ? Elle postulait pour être nounou. Il m’en faut une pour garder le petit durant la journée. — Et c’est comme ça que se passe les entretiens d’embauche chez toi ? — C’est elle qui m’a allumée. A la fin de notre entrevue, elle m’a clairement fait comprendre que, si je voulais, elle était prête à s’occuper du papa autant que du fils, moyennant finance bien sûr. — Tu fais ce que tu veux mais tout ce que tu vas gagner c’est lui faire un petit frère. — Aucun risque. J’ai tout fait dans la sortie de secours …. Attend tu ne vas pas me reprocher d’avoir pris du bon temps non ? Tu sais depuis quand je n’ai pas tiré un coup ? Depuis que j’ai arrêté les photos de cul. Depuis que le petit est là. T’as vu mon physique ? Ces photos c’était ma seule opportunité de pouvoir coucher alors …. — Ecoute c’est ta vie. Je ne te reproche rien, on est un peu pareil physiquement et je te comprends mais fais gaffe quand même. C’est vrai que, lui comme moi, on n’avait pas des physiques de séducteur à la « What else ». Pour nous, toute opportunité était bonne à prendre. Moi-même je n’ai pas fait grand-chose depuis l’actrice porno. Il y a eu une des modèles, peu de temps avant l’arrivée du petit …. Ah si, il y a eu cette étudiante qui avait un besoin urgent de ses photos qu’elle avait déposé à développer. Elle n’avait ...
    ... pas assez d’argent et m’a proposé de payer autrement si j’étais d’accord. C’est avec un sourire coquin qu’elle a contourné le comptoir pour me rejoindre et elle s’est mise à genou devant moi. Elle m’a taillé une des meilleures pipes que j’ai pu avoir. Pour la petite anecdote, alors qu’elle était déjà bien occupée, des clients sont entrés : un père et son fils venu acheter un appareil photo bon marché pour le gamin qui allait partir en voyage scolaire. La cliente était sous le comptoir et continuait son affaire pendant que je parlais avec ceux qui venaient d’entrer. Le père me demanda si j’allais bien parce que je semblais changer de couleur (rien d’étonnant vu ce qu’il se passait au niveau de ma ceinture). Je réalisais que j’allais devoir me déplacer jusqu’à la vitrine mais que je ne pouvais le faire avec le pantalon sur les chevilles et une érection. J’ai fait trainer les choses et, quand j’ai jouis dans la bouche de la cliente, j’ai simulé une quinte de toux. Il a ensuite fallu que je trouve une excuse pour remettre mon futal. J’ai alors fait tombé le pot de crayon ce qui m’a permis de me baisser. La cliente m’aida à récupérer les crayons avec un sourire amusé, comprenant la situation délicate dans laquelle j’étais. J’ai ensuite pu me déplacer pour montrer les modèles que nous proposions. Ce n’est que quand ils sont partis que ma cliente est ressortie et qu’elle a pu repartir. Depuis cet épisode, plus rien, « c’est le Manu-militari » comme dit Papa. La vie a repris, tonton ...