1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (3)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Hétéro

    ... plutôt m’aider, toi, au lieu de te marrer comme une baleine ». Là c’était fini pour mon quart d’heure studieux. Je suis allé le rejoindre et …. Mon dieu c’était un carnage. La couche sale était par terre et Jacques était trempé. On a quand même compris comment faire et le petit était enfin au sec. Jacques faisait le difficile apprentissage de la paternité et c’était trop comique. Je n’ai pas pu résister à l’envie d’apprendre la nouvelle à mon père si bien que le Weekend suivant, mes parents se sont pointés et mon père, tout sourire avec un nounours dans les mains, lui a dit « Salut je viens voir mon neveu ». C’est le samedi, un peu avant midi que mes parents sont arrivés. Jacques n’y était pas préparé et quand il m’a demandé pourquoi je les avais avertis je lui ai répondu que je n’ai pas pu y résister et que de toute façon ça aurait fini par se savoir. wtfwaavs Curieusement, cette visite a fini par améliorer les rapports entre ma mère et tonton. Le voyant se débrouiller comme il pouvait, elle lui a donné des cours et des petites astuces. Enfin ! Jacques allait se responsabiliser et si le côté St Bernard de ma mère pouvait l’y aider, tant mieux. En fait c’est surtout pour le petit qu’elle l’avait fait après avoir appris que la mère l’avait fait déposer ici, elle avait peur pour le petit, voyant comment se débrouillait son beau-frère ….. Tant bien que mal, Jacques a fini par s’y faire et se débrouiller. Il n’a jamais voulu le dire mais il a fini par s’y attacher à ce petit ...
    ... bout. Lui qui jouait les gros durs, je l’ai un jour surpris à donner le petit pot en faisant « l’avion qui rentre au hangar » avec la cuillère et une voix toute mielleuse. Quand il s’est rendu compte que j’avais tout vu, il a changé de ton « Alors tu vas finir de manger oui ? ». Je n’étais pas dupe et il a bien fini par m’avouer que, finalement, il s’y était attaché. Il s’y était attaché mais pas seulement pour les raisons que l’on croit. Ok, le petit Adrien était adorable avec sa petite bouille mais pour tonton c’était surtout un formidable aimant à gonzesse. Quand il le sortait au parc en poussette c’était rare de croiser un homme le faire et ça attirait toutes les dames du coin qui commençait à faire des mamours au gamin, attiré par ce père célibataire et sa poussette. Et c’est seulement ensuite que certaines d’entre elles questionnait tonton. Pour les attendrir, il racontait l’histoire du petit en enjolivant les choses à son avantage et n’hésitait pas à draguer et à préciser qu’il cherchait une nounou. C’est comme ça qu’un jour, en rentrant de mes cours, j’ai vu le petit dans son parc. Je me suis dirigé vers ma chambre et là j’ai entendu des « Oh oui Jacques, encore, t’arrête pas » provenant de la chambre de Tonton. « Oh le sagouin ! » me suis-je exprimé. J’ai déposé mes affaires dans ma chambre et je suis retourné voir le petit pour jouer avec lui. Ce n’est que plus tard que j’ai vu une femme de vingt-cinq ans environs sortir de la chambre en me disant bonjour suivi de près ...