1. Harpagon, la fleur et le novice


    Datte: 26/05/2019, Catégories: fh, fplusag, couleurs, extracon, nympho, complexe, jalousie, Masturbation Oral fsodo, bourge,

    ... tient à moi. C’est ma croix. Timagoo est un pis-aller, pas un substitut. Quant à Marc, l’évolution lui est plutôt bénéfique. Nous sommes paradoxalement plus proches, et avons d’ailleurs plus de rapports, sexuels notamment ; il m’arrive d’en prendre l’initiative. J’imagine que je contrebalance par ce moyen la culpabilité que je ressens envers lui. Une culpabilité bizarre, au demeurant, que je ne ressens pas quand je couche avec Moctar, seulement avec Timagoo. L’ambivalence interpelle, évidemment ; j’imagine que j’ai encore un gros travail psychanalytique à réaliser. Le fait que je ne dise rien de ma nouvelle liaison à Betty plaide aussi pour cette thèse. Malgré mon cirque thérapeutique, je reste une snob. J’ai honte de coucher avec mon boy ; on ne couche pas avec un boy. Que ferais-je si Betty venait à l’apprendre ? Je nierais avec la plus grande véhémence comme si ma vie en dépendait, c’est sûr et certain. Ce qui ne m’empêche pas de continuer à me taper Timagoo. Le pli est pris. Mon ventre réclame. Si je me sens une envie coquine et que le contexte est propice, je débarque dans la cuisine en tenue légère. Pas besoin de lui faire un dessin, il comprend tout de suite. Nous consommons sur place ou bien nous rejoignons la chambre, c’est égal. La cuisine et la chambre ne sont pas les seuls endroits témoins de mes amours illicites : j’adore les lieux insolites, et un peu de risque n’est pas pour me déplaire. Cela peut-être à la plage si je lui demande de m’y accompagner, ou bien ...
    ... sur un parking à l’occasion. Plus la situation est improbable, et plus intense et durable est mon ivresse. Si le danger est trop grand cependant, on renonce, ou bien j’ose seulement une fellation. Timagoo adore les fellations. Il m’est facile de lui plaire, n’importe quand, n’importe où. Figurez-vous qu’avant moi, personne ne lui avait jamais taillé de pipes ! La première que je lui administre, il m’explose dans la bouche. J’ai rien vu venir, ça n’arrête pas de gicler. Il est heureux comme un pape. — C’est génial ! qu’il s’exclame. Il connaissait en théorie mais n’était jamais parvenu à convaincre une nana de lui donner ce plaisir. Pour le cunni, c’est le topo inverse. Quand je lui suggère que je pourrais aimer, je comprends qu’il ne pige pas, et je me prépare pour un exercice de pédagogie primaire. J’explique qu’il s’agit d’une pratique sexuelle buccale qui consiste à stimuler les différentes parties des organes génitaux féminins à l’aide de la langue et des lèvres. — Tu parles du cunnilinctus, plus communément appelé cunnilingus. Ben voyons ! Il est comme ça, et m’en dira tant et plus sur l’origine du mot : un Wikipédia avant l’heure. Ceci dit, il n’a jamais pratiqué ; il me faut m’y reprendre je ne sais combien de fois avant de le convaincre que ça peut être goûteux. Même ensuite, il manifeste des réticences inexplicables dès lors qu’il lui faut plonger le nez dans la bouillasse ; mais une fois qu’il est parti, on ne peut plus l’arrêter : il dévore tout et lèche jusqu’à la ...
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