Harpagon, la fleur et le novice
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
extracon,
nympho,
complexe,
jalousie,
Masturbation
Oral
fsodo,
bourge,
... dernière goutte. Tout à fait le genre de convive qu’une maîtresse de maison accomplie adore avoir à sa table, ou sous la table. ______________________ En dehors de sa naïveté, mon jeune amant a un autre défaut nettement plus sérieux : il est jaloux. Je le soupçonnais plus ou moins, mais je le découvre grandeur nature le jour où je rentre plus tard que d’habitude parce que Moctar m’a retenue. Marc est dans son bureau, Timagoo à la cuisine. Il m’attend, la mine sombre. Je m’étonne : — Pourquoi m’avoir attendue ? Son service est terminé depuis longtemps, il ne devrait plus être en poste. Il m’explique qu’il s’inquiétait pour moi. Je le remercie et débite des balivernes à toutes fins utiles ; je n’ai pas à me justifier, mais j’ai le sentiment qu’il me faut l’apaiser. Il avale mon boniment et retrouve le sourire. — Tu es magnifique comme une fleur, qu’il me complimente. J’imagine que ma robe l’inspire. Elle est printanière, vaporeuse, et gaie. La jupe forme une corolle de couleur pastel parsemée d’éclats plus vifs rouge pivoine. La joie de mon amant nous emporte. Il m’entraîne dans une sorte de danse, ni rock, ni valse, où l’on tournoie au son d’une musique que l’on n’entend pas. Elle n’est que dans sa tête et un peu dans la mienne aussi par télépathie. Je ne me souviens pas l’avoir jamais vu si démonstratif ; il est manifestement heureux et enchaîne les passes. Je vire, au diapason avec lui, heureuse aussi. Il me lâche, deux pas encore, je tourne à nouveau, et tourne encore, ...
... emportée sur ma lancée… Ma robe est légère, elle décolle et dévoile ce qui n’aurait pas dû l’être. Je suis nue, je n’ai pas renfilé ma culotte après m’être douchée chez Moctar. Le big-bang ! Pas celui du début : un autre, 13, 8 milliards d’années plus tard. Fini l’expansion ! Le temps se contracte, s’arrête. Quel silence ! Il annonce l’orage. Le phénomène fait un raffut du diable, je crains qu’il n’alerte mon époux. Je manœuvre pour l’éloigner. Nous sortons. À l’extérieur, ça ne s’arrange pas ; il vocifère et tripote. À l’aide de sa paluche, il malaxe, massacre et écrabouille mes fesses nues aussi bien que mon minou tout aussi nu. — Pourquoi ? Le sens du mot est à comprendre dans le contexte. Je traduis : « Pourquoi m’as-tu trompé ? » Je l’ai effectivement trompé : j’ai eu des rapports peu de temps auparavant. La douche n’a pas tout effacé. Le jaloux continue d’investiguer. Deux doigts sont particulièrement actifs. Ils pénètrent sans ménagement. L’objectif de l’investigation est d’ordre policier. Tout me dénonce : les examens visuels et tactiles aussi bien que le contrôle olfactif. Les indices concordent : je suis coupable. Confondue, je finis par le reconnaître. — Je suis allée voir Moctar.— Tu baises encore avec lui ? hurle-t-il, trop fort à mon goût.— C’était la dernière fois ! C’est fini, je te jure ! Je ne suis pas sincère ; mais en pareil cas, qui va m’en faire reproche ? Lui, bien sûr ! Il ne me croit pas, braille, trifouille et tripatouille, renouvelle les examens, ...