Après-midi
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
forêt,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
extraconj,
fsoumisah,
... Oui…— Pendant que vous me tourniez le dos, j’ai un peu forcé votre ourlet et je l’ai glissé dedans… J’aurais préféré vos chaussures, mais ce n’était pas possible.— Vous êtes un vicieux dans votre genre ! Vous vous baladez souvent avec des tags dans votre poche ? Combien de femmes y ont eu droit ?— Vous êtes la seule, mais vous n’êtes pas obligée de me croire. Et mon entreprise fabrique justement ces tags… Un peu courroucée, je le regarde droit dans les yeux. Non, il ne semble pas me mentir quand il me dit que je suis la seule ; ou bien, je veux y croire… C’est alors qu’il m’embrasse et que je le laisse faire… et que je me laisse faire… J’adore ses caresses sur mon corps nu, et sa peau contre la mienne m’électrise d’une façon inimaginable ! C’est bien la première fois que je me sens aussi offerte à un homme, et pourtant je suis une soumise habituée au libertinage ! Il s’enhardit un peu plus et plaque son corps contre le mien, nouant une jambe autour de la mienne. Ses baisers sont à la fois sucrés et épicés, tendres et voraces, je ne sais comment mieux le dire ainsi… Nos corps semblent fusionner ; je frissonne entièrement de la tête aux pieds et je réponds sensuellement et fiévreusement à ses fougueux baisers ! Nos bouches se séparent ; il me regarde intensément : — Maintenant, ose me dire que tu ne serais pas heureuse avec moi !— Je… oui, je suis très bien avec toi, c’est vrai ; mais j’ai déjà une vie !— Donc il ne me reste plus qu’à te convaincre du mieux que je peux ! Et il ...
... s’empare de mes lèvres ; je ne suis absolument pas contre sa tentative pour me convaincre, même me corrompre ! Lentement, je me retrouve à demi-allongée, son corps chaud sur le mien, sans qu’il m’écrase ; il est juste comme il faut : possessif, contre moi, mais pas au point de m’étouffer. Une métaphore en quelque sorte, oui, il pourrait être là pour moi, rien que pour moi, sans me brider, me laissant vivre. Cette idée me chavire ! Je suis comme suspendue, désemparée ! C’est alors qu’il me libère. Il se repositionne au milieu du canapé, puis il m’attire à lui pour que nous soyons assis à nouveau l’un à côté de l’autre, son vigoureux bras autour de mon cou. Je suis lovée contre lui, consentante. Tout ceci m’effraie ; je secoue la tête : — Non, non, il y a quelque chose qui ne va pas, Max !— Comment ça ?— C’est dingue tout ce truc ! Je ne te connais même pas et pourtant, je… euh…— Et tu envisagerais volontiers que je sois ton amant et ton Maître…— Non, non… je… Peine perdue ; je sais bien que je ne suis pas convaincante et qu’il le sait très bien ! D’ailleurs, il me le prouve : — En réalité, tu meurs d’envie d’être à moi, de m’appartenir, tout comme moi j’ai follement envie de toi, passionnément !— Il ne faut pas… Il m’embrasse fougueusement ; je me dénie en répondant éperdument à ses baisers. Il s’enhardit : une main caresse mon sein tandis que l’autre, agrippée à mon épaule, m’attire vers lui. Je soupire d’aise quand il joue avec mon téton ; il embrasse ma bouche ouverte, mes ...