1. Après-midi


    Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, extracon, forêt, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, coprolalie, extraconj, fsoumisah,

    ... yeux mi-clos, le bout de mon nez. J’enfouis ma tête dans son cou quand il commence à pincer, tirailler, étirer mon téton qui adore ça ! Alors il m’allonge totalement sur le canapé, sa bouche à nouveau sur la mienne, sa main à présent sur mon autre sein, et l’autre sur mon ventre qu’il caresse doucement. Tandis qu’il continue à me dévorer, ses doigts s’attaquent à mon téton qui se retrouve bien vite malmené comme j’aime qu’il le soit. Son autre main caresse alternativement mon ventre puis ma jambe, s’offrant parfois quelques incursions sur ma cuisse. Consentante, j’écarte petit à petit les jambes. Il devient plus possessif ; il presse implacablement son sein, puis sa main s’élargit pour qu’il coule entre ses doigts qui capturent ensuite implacablement mon téton. C’est au moment où Max étire férocement celui-ci que ses doigts envahissent ma chatte et dénichent bien vite mon petit bouton rose qui n’attendait que ça ! Je me cabre sous la double sensation : l’élancement de mon téton et l’électrisation de mon clitoris ! Ses lèvres quittent les miennes ; j’en profite pour respirer goulûment. — Tu es à moi, Valérie, complètement à moi !— Oui, oui… je suis à toi ! Il accentue sa caresse insidieuse dans ma fente détrempée tout en torturant sadiquement mon téton meurtri ; cet homme est diabolique, il arrive à m’infliger simultanément les deux choses que j’adore : plaisir et douleur. Je sursaute ; il vient d’entrer en moi au moins deux doigts tandis qu’il s’active toujours autour de mon ...
    ... clitoris, le pinçant délicatement, le frôlant, le câlinant. Il lâche mon téton pour s’emparer à nouveau de mon sein à sa base. Il me le broie petit à petit, enfonçant ses doigts dans mes tendres chairs. — Ose me dire que tu veux partir !— Non… oui… si… Je…— Tu es une petite chienne tout trempée ! Être l’objet de convoitise de ton Maître te plaît, n’est-ce pas ?— Oh oui, j’aime être votre objet, Maître !— Tu vois, tu as tout compris : je suis ton Maître, le seul et l’unique ! Répète-le !— Vous… vous êtes mon seul Maître !— Encore !— Vous êtes mon seul Maître ! C’est alors qu’il m’embrasse et qu’il m’embrase ! Mon sein comprimé me brûle, mon clitoris exacerbé est en feu, ma chatte dégoulinante est investie, envahie ; et moi, je suis à lui, rien qu’à lui. Soudain, la jouissance arrive, fulgurante, implacable. Je crie mon bonheur sans répit, dans mille soubresauts et gestes syncopés ! Puis la grande vague, l’immense vague irrésistible, cette chaleur intense, cette petite mort… Alanguie, pour l’instant repue, je me laisse aller, pendant qu’il me caresse délicatement. Max sait alterner douceur et brutalité, comme il le faut, au moment où il le faut. Pourtant, il ne me connaît pas, mais c’est comme s’il me devinait. — C’était… c’était très bon, Max…— Je l’espère pour vous, Valérie. Savez-vous que vous êtes très belle, alanguie sur ce canapé, avec vos bas et vos chaussures… À travers mes yeux mi-clos, je le regarde, amusée : — Vous… tu… il y a hésitation !— Non, je n’hésite pas : je ...
«12...678...14»