1. Conflit de génération


    Datte: 04/06/2019, Catégories: fh, hplusag, caférestau, noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, amourpass,

    ... pantalon. — Je te rappelle que tu pourrais être ma fille…— Oui, mais justement, je ne le suis pas. Si tu savais combien j’en suis heureuse… Pour toute réponse, il m’embrasse fougueusement, en me serrant dans ses bras. Le repas est somptueux, comme à chaque fois que nous venons ici. L’avantage de la grande cuisine, c’est que quand on va se coucher, l’on n’a pas de mal à digérer… Mais il est vrai aussi que si l’on a vraiment faim, il vaut mieux se diriger vers le routier du coin. La bouffe y est nettement moins bonne, mais au moins, il y en a un peu plus dans son assiette et l’on en sort nettement plus rassasié. Et moi, précisément, alors que je lève de table, je suis complètement affamée, mais d’autre chose. Le recoin dans le couloir, c’est l’occasion rêvée de prendre Pascal dans ma bouche. L’ascenseur, c’est pour lui l’endroit idéal pour me mettre deux doigts et me conduire, déjà, au bord de l’orgasme. La porte de la lingerie restée ouverte, c’est le lieu parfait pour une petite séance de broutage de minou… Et, enfin arrivé à la chambre, il m’embroche directement sur la table basse de l’entrée, sans même avoir pris le temps de refermer la porte derrière lui. Je suis libre de mœurs, très libre sûrement, mais certainement pas exhibitionniste, et pourtant je n’y attache aucune importance. Si quelqu’un survient à ce moment, il ne verra pas un couple en train de forniquer bêtement, il verra deux êtres absolument fous de bonheur. Cela dit, comme à son habitude, Pascal assure un ...
    ... maximum, et je couine bien vite. Il se relève, referme enfin la porte, et m’entraîne aussitôt dans la salle de bain. Je sais que quelques cabrioles sous la douche sont parmi les choses qu’il préfère… Mais il n’en est rien, il retrousse de nouveau ma jupe que, pourtant, j’avais laissée telle quelle après son premier assaut, et il me pousse vers les deux grandes vasques. Là, debout derrière moi, il pose mon genou droit sur le rebord de ces immenses lavabos et, de nouveau, il m’enfile sans me laisser une seconde de répit. De nouveau, ses mains ayant pris soin de libérer mes seins de l’emprise de ma veste de tailleur, il me mène à un second orgasme au moins aussi puissant que le premier. Toutes les pièces y passent, je multiplie les jouissances… Jamais je ne l’ai vu comme ça. Et quand le matériel décide de se mettre aux abonnés absents, qu’à cela ne tienne, c’est avec ses doigts ou sa langue qu’il m’emmène au nirvana. Je suis en train de me demander si je ne vais pas mourir à force de hurler de bonheur. Mon dieu, quelle santé ! Certes, cela fait presque deux mois qu’il ne m’a pas touchée, certes, nous venons de passer du désespoir absolu à l’intense bonheur en quelques heures, mais tout de même… Quand je pense qu’il a cinquante ans, qu’est-ce que cela devait être lorsqu’il en avait vingt ! Il fallait bien être aussi cruche que ma mère pour laisser passer un oiseau pareil… Quoique j’aie bien laissé tomber Félix… Mais Pascal, au moins ce soir, le dépasse largement. Tiens, à ce sujet, ...
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