1. Conflit de génération


    Datte: 04/06/2019, Catégories: fh, hplusag, caférestau, noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, amourpass,

    ... mordus de sport hippique sont nombreux et semblent s’y être donnés rendez-vous. Posant un pied sur le barreau de la chaise d’à côté, j’écarte les jambes autant que la jupe me le permet. Cette fois, il baisse les yeux. — Vous êtes folle…— Je vous jure que je le fais. Alors ?— Champagne. Elle est champagne. Cette fois, il est écarlate. Son assurance naturelle vient soudain de disparaître, j’en profite pour pousser le bouchon un peu plus loin. — En effet… Maintenant, dites-m’en plus.— Pardon ?— Quelle matière, quelle particularité ? De nouveau, il baisse les yeux. — Du tulle, je pense. Je ne peux pas en dire plus. Qu’à cela ne tienne, je pose mon pied sur le barreau supérieur, ma jupe remonte encore un peu. Dans le reflet de la vitre, la lisière de mon bas vient d’apparaître. L’un des clients à l’intérieur pourrait sans doute s’en rendre compte, mais je n’en ai cure. — Du tulle. Du tulle transparent.— Rien à ajouter, vous êtes certain ? Regardez bien. Ce que je suis en train de faire, je l’ai mijoté depuis la veille, d’où le choix de cette culotte. Elle est quasiment transparente, n’est pas doublée et ne cache donc rien de mon anatomie, même la plus intime. Je sais notamment que l’on voit très nettement le sillon de mes lèvres exactement comme si je ne portais rien. — Heu… Que vous dire de plus ? Que vous êtes épilée ?— Tout à fait. Maintenant, Pascal, dites-moi que vous n’avez pas envie de moi. Dites-le-moi, et j’arrête tout. Pour moi, c’est quitte ou double. Si mon stratagème ...
    ... ne fonctionne pas, j’aurais vraiment l’air d’une cruche et j’aurais perdu un ami à vouloir m’en faire un amant. — Heu… Je… Il est à nouveau temps de reprendre les choses en main, je repose mon pied sur le sol, redescends légèrement la jupe, et l’embrasse à pleine bouche. C’est à son tour d’être totalement scotché. Alors, il me prend par la main, et m’emmène sans rien dire. Pas la peine d’être devin pour comprendre que nous allons jusqu’à sa boutique, même si les deux ou trois cents mètres qui nous en séparent sont ponctués de nombreux arrêts où je l’embrasse à n’en plus finir. Les passants sont rares mais leurs commentaires vont bon train, et notamment sur le fait que Pascal pourrait être mon père. Mais qu’importe, je m’en fous. Nous arrivons à sa galerie, il me tient par la taille lorsque nous en franchissons le seuil, puis m’entraîne vers le fond. Une cuisine, minuscule, et une chambre, tout aussi minuscule. — C’est mon chez-moi quand je suis à Paris.— Vous n’habitez donc pas ici ?— Non, j’ai une petite villa sur la côte Atlantique. Je… Il se tait brusquement, comme s’il venait de se rendre compte de quelque chose. Son regard change brusquement. — Je crois que je suis complètement fou, surtout. Vous êtes ravissante, mais je ne sais pas pourquoi je vous ai emmenée ici. Partez, je vous en prie, tout cela n’a pas de sens. En guise de réponse, je lui enfonce de nouveau ma langue jusqu’aux amygdales. — Ne cherchez pas à comprendre, je n’y comprends déjà rien moi-même. J’ai envie ...
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