Triptyque
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
fh,
hh,
inconnu,
collection,
Transexuels
intermast,
Oral
hsodo,
poésie,
exercice,
occasion,
Gay
... propice à l’abandon, et tu te laisses faire lorsque je t’embrasse à pleine bouche, lorsque je passe ma langue sur tes lèvres, je goutte ce moment-là, doux et suave. Je passe ma main sur ton pull pour te percevoir de plus près encore, mon autre main à la ceinture de ton pantalon, à l’endroit où meurt le dos et naissent les fesses, le bas des reins. J’aime cette portion du corps, elle est mouvante, affolante, remplie de mille promesses. Tu es un peu tendu encore, sans doute mon attitude précédente plutôt déconcertante, j’en conviens. Encore un peu fâché, finalement, mais j’ai tant besoin, tant envie de toi, qu’il m’est impossible d’arrêter, impossible de quitter la chaleur de ta peau, tout crie au fond de moi, tout s’agite de façon incontrôlée, incontrôlable. Je ne te laisserai pas partir et tu sembles apprécier mon empressement, mon affolement. Tes fesses sont douces, câlines, je me suis glissé plus bas pour les saisir à pleine main. J’ai déboutonné un peu plus ton pantalon, pour laisser un peu plus de place pour que la deuxième puisse être à l’aise elle aussi. Je t’embrasse la bouche, le cou, la nuque, les épaules, mes deux mains en promenade sur ton joli cul. Tu me rends mes baisers. Je suis aux anges !!! Nous n’irons pas plus loin, ma faim d’amour est bien trop grande et l’inconfort d’une porte cochère sera suffisant, cela ne changera rien. Qu’importe ! je ne peux me priver de l’intensité de cet instant là, j’ai trop attendu. Je sens ta queue devenir plus dure à travers le ...
... tissu de nos pantalons, la mienne est dans le même état. J’aime ce moment, je me plaque contre toi, j’ondule des hanches, je me branle contre ta propre queue, je la sens frémir au contact de la mienne. J’ai envie de la sentir de plus près encore, je suis à genoux devant toi, asservi à mes désirs, je la prends au creux de ma bouche, je veux profiter de sa belle vigueur, de sa vivante chaleur, je suce et suce encore à m’en remplir le corps tout entier de son rayonnement bénéfique, mes doigts se promènent dans l’intime douceur humide de tes fesses. Tu aimes l’envie dévorante de ma bouche, l’indécence intrusive de mes doigts, j’aime attendre la musique languide de ton plaisir. Je la gobe toute entière, je la veux toute, tout de suite, je veux la faire frémir, faillir, exploser au fond de moi, et tu jouis, tu souris à l’inconnu, je profite jusqu’à la dernière goutte de ton sperme, élixir de vie pour moi. Je me branle doucement, puis plus fort, et j’éclate au fond de mes mains, je suis devenu maître dans ce domaine, un savant des plaisirs solitaires. Mais celui-ci ne l’était pas. J’aime ton regard bienveillant, ton sourire lumineux, tu m’as rendu heureux, pour un instant suspendu hors des réalités. Tu poses un baiser sur mon front, je fais de même, et nous reprenons notre chemin. Peut-être à une autre fois, dans un autre monde… J’ai quitté depuis longtemps déjà les trottoirs, les villes assassines, le sombre, les nuits sans lune. J’ai voulu oublier la main des hommes, la langueur ...