1. Folies en rut majeur (2)


    Datte: 06/06/2019, Catégories: Erotique,

    ... ce salaud-là savait s’y prendre, pour lui arracher soupirs et gémissements — oooOOooo — Le corps de la jeune femme retrouvait des sensations oubliées. Il se remettait en ordre de marche et les premiers spasmes qui annonçaient l’ouragan se succédaient à un rythme qui ne lui permettait plus de penser. Elle se creusait les reins, avançait son bassin, roulait des hanches, pour mieux le sentir en profondeur. La pointe baveuse de la langue de Luigi s’infiltrait partout et sa seule réponse était des gloussements, des plaintes non pas de douleur, mais bel et bien d’envie. C’était elle qui maintenait, désormais la tête du visiteur qui rodait dansa cave. Elle pressait, tirait sur ce qu’elle agrippait et l’autre ne décollait plus ses lippes du pont formé par ses cuisses outrageusement ouvertes. Finalement, elle jouit d’une manière si brutale que ses longues jambes serrèrent la caboche de ce type qui maraudait entre elles. Il dut s’y reprendre en plusieurs fois afin qu’elle comprenne que pour un peu elle l’étouffait. Les frissons se calmaient lentement, mais lui était toujours à genoux. Par contre il avait changé de place et ses mains exploraient les plages situées entre ses seins et sa chatte. Il massait doucement, les paumes bien à plat. C’était d’une douceur exquise. Il revenait sans cesse, vers le centre de ce ventre bien plat. La position aidait aussi sans doute à ce qu’il reste bien tendu. — Tu es belle ! Ta chatte est un régal. Tu es trop bonne. Je vais te redonner un peu envie, ...
    ... ensuite ma belle salope, je te baiserai bien profondément. Tu vas voir, mais je sais, j’ai senti que tu aimais le cul. Alors, ne t’en prive pas… jamais. — Mais… — Chut ! Ne dis rien ! Laisse-moi seulement faire. Tu vas voir, je sais déjà que tu vas aimer. Bon Dieu, quel corps, une paire de seins de toute beauté, des hanches faites pour l’amour, un ventre accueillant… j’aime ce que je vois. — S’il vous plaît… je dois rentrer chez moi ! — Non ! Nous n’en avons pas encore fini, toi et moi. Aline se tut ! Tout en lui racontant des choses agréables à entendre, il insistait sur ses caresses toujours aussi ciblées. Son ombilic bien dessiné accueillait maintenant index qui visitait le pourtour avant de plonger dans le minuscule cratère. De nouveaux frissons, une chair de poule qui lui revenait les pores de la peau, la brune referma les yeux et se laissa faire. Une pointe rose de langue alanguie s’insinuait entre les lèvres charnues de la dame. Sa poitrine montait et descendait sous l’impact des câlins. Son visage oscillait, elle se berçait droite et de gauche, complice de cet homme qui jouait avec sa plastique harmonieuse. Les mains masculines se rejoignirent au niveau des deux monticules érigés sur la poitrine. Les tétons sombres avaient doublé de volume, gorgés d’envie et d’impatience. Il les massa, les tritura un long moment la brune n’avait pas cessé de laisser s’échapper tantôt de longs soupirs tantôt l’air comprimé dans ses poumons sous l’effet trop violent des attouchements ...
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