Folies en rut majeur (2)
Datte: 06/06/2019,
Catégories:
Erotique,
... divins que Luigi lui prodiguait. De temps à autre le dos de la beauté nue se soulevait du plateau de la table pour mieux retomber sur ce dernier, lorsque le frisson était passé. Insensiblement les doigts revenus vers la source, sa source à elle. Cet endroit toujours aussi, voire plus humide encore était enfin prêt pour recevoir de la visite. Sans cesser de la cajoler, l’italien se remit à la place qu’il occupait au départ de l’action. Maintenant, ce n’était plus un doigt qui coulissait sur les lèvres trempées. Non seul le bout turgescent de la queue de l’homme se frayait un chemin pour s’enduire de cette eau qui dégoulinait littéralement d’elle. Elle retint son souffle, attentive au moment où il allait la pénétrer. Quand le gland se fut bien promené sur le coulisseau ruisselant, le type s’enfonça sans coup férir, d’une seule poussée en elle. La verge tendue entrait comme un doigt dans un gant. Elle poussa une sorte de hurlement, un cri venu du fond de ses tripes, comme une explosion de plaisir à l’état pur. Aline avait l’impression que tout son être participait à un délicieux festin. Aucune parcelle de son être ne semblait épargnée par cette magistrale jouissance qui l’emportant ! Un cheval au galop, une vague énorme, et le tout dans une nuée de couleurs et de lumières indescriptibles. La montre de la jeune femme indiquait quinze heures vingt, quand il la déposa près de son véhicule. Elle sauta dans celui-ci et reprit la route avec empressement. Sûr qu’au vu de sa mine ...
... Gabriel allait savoir de suite. Il comprendrait qu’elle avait fait une connerie ? Pas certaine de cela elle envisageait déjà au fond de sa tête les répercussions catastrophiques qui risquaient bien de découler de son acte indigne. Un coup de chance inouïe, il n’était pas chez eux quand elle rentra. Elle courut vers la salle de bain, trop heureuse de faire disparaître les éventuelles traces, mais surtout les odeurs de son délit. L’eau la purifiait comme à chaque fois qu’elle se jetait à corps perdu sous le jet tiède. Et cette fois son corps était bien perdu pour elle. Elle se voulait de s’être ainsi égarée sur une route compliquée ! Mais bon, inutile de remuer le couteau dans la palie et surtout, impossible de faire machine arrière, elle devrait vivre avec cela le reste de ses jours. Par contre et c’était indéniable le diable de rital s’était montré un amant redoutablement efficace. Ses reins, malgré la douche, gardaient la nostalgie de son passage. Il ne lui avait pas demandé un autre rendez-vous. Elle n’avait pas un seul instant envisagé de le revoir. Trop de honte, trop de… et puis merde, c’était trop de tout et pas assez de sentiments pour ce gars-là. Aucune allusion à cette absence prolongée ne vint ternir le sourire de son mari lors de son retour. Il ne fit pas non plus un pas vers elle. Juste un bisou déposé du bout des lèvres sur sa joue, et il avait immédiatement disparu dans son sacro-saint bureau. Aline s’était donc occupée ailleurs également, mais les lancinantes images ...