1. Ma locataire


    Datte: 06/06/2019, Catégories: fh, hagé, couleurs, noculotte, Oral pénétratio, hplusag,

    ... vingt-trois 23 ans. Je dois dire que ce jour-là, c’est la tante qui m’avait paru digne d’intérêt, mais nous nous en étions tenu à la courtoisie d’usage. Voilà le genre d’idée obsédante qui s’est plantée dans ma tête, qui m’a tenu éveillé une partie de la nuit et en haleine tout au long de la journée. J’essayais de me corriger, de m’en distraire, mais elle revenait, sournoise, s’insinuait, occupait tout mon espace mental. Délices et affres du sentiment de culpabilité. N’empêche, à dix-huit heures pétantes, je suis devant la porte de l’immeuble, j’appelle à l’interphone et elle me fait monter. Quelle n’est pas ma surprise quand la porte s’ouvre sur la tante qui s’efface dans le couloir pour me laisser passer. — Entrez, Monsieur Blunch ! Elle me décoche un sourire enjôleur. C’est une femme plantureuse ; elle porte une robe noire moulante qui met terriblement en valeur une poitrine bien pleine, et des escarpins à talons qui lui dessinent de beaux mollets. Elle est joliment maquillée, paupières bleutées, rouge à lèvres, et son parfum m’enveloppe agréablement. — Charlène ne sera pas là avant un petit moment, elle m’a demandé de vous faire attendre. Vous voulez boire quelque chose ? Asseyez-vous sur le clic-clac. ! L’appartement que je loue, en plus d’une salle de bain et d’un sas d’entrée, se compose d’une grande pièce séjour dont un angle est équipé d’un coin cuisine sommaire : un frigo avec deux plaques électriques, un évier, un meuble rangement-plan de travail et trois ...
    ... éléments hauts. La tante me tourne le dos. Quand elle se penche pour prendre des boissons dans le frigo, sa robe lui dessine très distinctement les fesses où je ne distingue de trace ni de string ni de culotte. C’est encore avec beaucoup de grâce qu’elle se saisit de deux verres dans l’élément haut. Elle revient s’asseoir à côté de moi sur le clic-clac, et comme par mégarde, son genou s’appuie contre le mien. — Eh bien à notre santé, Monsieur Blunch. Votre femme ne pouvait pas venir ?— Je suis veuf.— Oh, pardonnez-moi. Je suis veuve aussi, mais vous savez, ça ne m’a pas rendue sombre pour autant. J’adore m’amuser. Elle me tend le verre de jus d’orange et en le prenant, ma main effleure ses doigts. Quand elle se penche pour poser le pack d’orange sur la table, j’ai une vue imprenable sur sa poitrine, et j’ai l’impression qu’elle fait durer la posture plus que de raison. Et puis, sans autre façon, elle pose sa main sur mon genou. — Alors, parlons un peu de ce qui tourmente Charlène, me dit-elle.— Oui, bien sûr, j’y pensais, ça me tourmente aussi. Euh, excusez-moi – je prends sa main doucement et la retire de mon genou – cette intimité me trouble un peu.— Vous êtes veuf depuis trop longtemps, monsieur Blunch, vous avez perdu l’habitude d’approcher les femmes. Vous savez, ce n’est pas parce que je suis noire que je suis cannibale, poursuit-elle avec un sourire qui découvre largement une dentition parfaite et qui, devant ma gêne, vire à l’hilarité. Sa bonne humeur me gagne et nous nous ...