1. Ma locataire


    Datte: 06/06/2019, Catégories: fh, hagé, couleurs, noculotte, Oral pénétratio, hplusag,

    ... langue, le fait jouer dans l’entrée de sa bouche. Puis ses mains reviennent enserrer ma colonne, la pressent, la branlent merveilleusement. Je sens que mon plaisir est tout près d’arriver, elle le réalise aussi, alors elle me mordille au niveau du frein. C’est une surprise un instant douloureuse, mais mon excitation revient à un niveau contrôlable. Maintenant, je veux reprendre l’initiative, je me redresse et lui fais passer la robe par-dessus la tête. Je réalise à cet instant qu’elle ne porte pas de culotte, je ne m’étais donc pas trompé tout à l’heure. Cette constatation fouette mon imagination. La dame serait-elle une belle salope ? — Donne-moi ton cul, maintenant, belle négresse. Je la retourne et l’agenouille face au canapé. Je me place derrière elle. — Caresse-toi ton joli bouton, lui ordonné-je. Et de mes deux mains plaquées au bord de ses lèvres, je les écarte et me repais du spectacle qu’elle m’offre. Entre ses fesses noires et charnues s’ouvre sa fleur d’un rose vif, que l’abondante sécrétion de cyprine teinte de reflets nacrés. Je regarde sous ses doigts rouler le clitoris qu’elle agace, qu’elle presse, qu’elle étire. D’une main, j’entreprends de caresser son abricot tout luisant. Ma main rencontre à l’occasion ses doigts qui poursuivent leur ballet sur son gros clito tout dressé. Je lui introduis un doigt, puis deux dans la chatte. Je la sens qui se tortille de plaisir, alors mes mouvements se font plus insistants. J’approche mon visage de sa raie et je commence ...
    ... à lui lécher la rosette. Elle s’est parfumée jusque là, preuve qu’elle avait prémédité son affaire avant mon arrivée. Je m’écarte, et d’une voix autoritaire, je lui déclare : — Maintenant, je veux que tu me supplies de te baiser.— Oh oui, baise-moi présentement, méchant blanc. Elle ne l’a pas dit sous le ton de la soumission, mais au contraire avec une imitation d’accent africain qui la fait éclater de rire et moi aussi. — Tu mériterais la fessée pour ça, tu sais !— Oh, non, missié, pas la fessée pour sa doudou, poursuit-elle dans la même veine. Eh bien tant pis, je lui mets quand même une grande claque sur la fesse et dans le même temps, j’introduis mon braquemart d’un seul trait jusqu’au fond de son antre. Elle étouffe un juron dans le canapé, mais un juron de plaisir, parce que l’instant d’après, elle me supplie : — Défonce-moi, oh oui, défonce-moi. De ma position, à genoux derrière elle, j’ai vue sur le sas de l’entrée, et il me semble un instant voir un reflet passager dans le miroir qui s’y trouve. Mon Dieu, pensé-je immédiatement, Charlène est de retour. Mon hésitation a beau être brève, elle n’échappe pas à Esthelle qui l’entend d’une autre manière, m’empoigne les bourses à l’aveuglette pour me faire revenir et rugit : — Allez, viens, salaud. Je reprends donc mon pilonnage, mais avec un regard qui se porte sans cesse sur l’entrée. Oui, j’en suis certain, une ombre bouge quelques instants, puis une lueur brève : elle a rouvert la porte et est repartie. Je sens que la ...