1. Ma locataire


    Datte: 06/06/2019, Catégories: fh, hagé, couleurs, noculotte, Oral pénétratio, hplusag,

    ... mettons à pouffer comme des collégiens. Dans ce fou rire qui nous secoue, mes mains ont saisi les siennes et les pressent. De son côté, elle a changé de position et s’est assise tout à côté de moi, sa cuisse plaquée contre la mienne. Quand le rire s’arrête, nous avons tous deux les larmes aux yeux. Elle sort un mouchoir qu’elle tenait dissimulé dans son soutien-gorge. — Vous permettez ? Elle se tourne vers moi et me tamponne les yeux. Ses seins s’appuient lourdement sur mon bras et je sens leur tiédeur à travers le coton de ma chemise. Et puis elle range le mouchoir là où elle l’a pris et pose sa tête sur mon épaule. — Vous êtes un homme bon, monsieur Blunch !— Oh, je ne crois pas, si vous saviez les idées qui me passent par la tête, là, maintenant !— Et qu’est-ce que vous croyez ? Qu’il n’en passe pas non plus, dans ma tête, des idées. Et pas que dans ma tête. Tenez, posez votre main ici. Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. — J’ai envie que vous me caressiez. J’ai les seins très sensibles. Je me croyais à l’abri de ça, désormais pourtant, une érection phénoménale se rappelle à moi par la gêne presque douloureuse que lui impose la position assise. Je cherche à temporiser. — Charlène… Je veux dire, pour Charlène…— Détendez-vous, monsieur Blunch. Au fait, c’est quoi votre prénom ?— Émile.— Détendez-vous, Émile. Moi, c’est Esthelle. Charlène ne vous en voudra pas si vous lui faites un petit cadeau… Ce disant, elle passe une main entre les boutons de ma chemise ...
    ... qu’elle a détachés et commence à me titiller les mamelons. Ma réaction est complètement inattendue, je ne me rappelle pas avoir jamais éprouvé un pareil frisson. J’en ai le corps tout secoué. À partir de ce moment là, je comprends que j’ai complètement perdu pied, que c’est elle qui mène la partie et que j’irai là où elle voudra bien m’emmener. Pour l’heure, je plonge à deux mains dans son décolleté, libère de leur cocon deux seins qui n’attendaient que ça, deux gros seins qui s’étalent généreusement sur la robe. C’est la première fois de ma vie qu’il m’est donné de dénuder une femme noire, je découvre avec avidité ses larges aréoles d’un noir plus sombre que le sein, deux gros tétons pointés. J’en prends un en bouche pendant que d’une main, je pince l’autre et le roule entre mes doigts. Je sens que cette caresse l’électrise, elle vient poser une main sur la mienne pour l’encourager à poursuivre avec plus de douceur. Elle me fait basculer en arrière, me couche sur le dos et s’attaque à la fermeture de mon pantalon, pendant que mes mains poursuivent leur pelotage. Quand je soulève le bassin pour lui faciliter l’enlèvement de mon pantalon, je réalise que le boxer a suivi le mouvement. Elle se laisse alors glisser vers mon sexe tendu comme un arc, me cajole les bourses entre ses paumes, les caresse, glisse une main le long du périnée et d’un doigt, s’en vient effleurer mon petit trou. En même temps, elle pose ses lèvres humectées de salive sur mon gland, donne de petits coups de ...