1. Pour une Queue Montrée (1)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Divers,

    C’était peu dire que Laurianne et moi étions proches. Nous sommes plus que meilleurs amis. Nous avions la chance d’avoir plus encore confiance en l’un et l’autre qu’avec des amis. Toutes les fratries ne pouvaient pas prétendre à autant de proximité. Oh, bien sûr, on s’est fait bon nombre de vacheries dans notre enfance et notre adolescence, et parfois nous continuons alors que nous sommes de jeunes adultes. Mais je dois reconnaître que grâce à elle, j’ai pu jouir de quelques maîtresses au délicieux souvenir. Eh oui, Laurianne m’a organisé des plans cul avec certaines de ses amies : un an de moins qu’elles ne fait pas grande différence, surtout à notre âge. Des amies qui naturellement me trouvaient à leur goût. Elle aimait jouer les entremetteuses, et ça marchait bien. Et puis, en échange de bons procédés, je lui permettais d’approcher mes propres amis, pour lesquels certains ont eu la chance d’entrer dans son lit. Chez beaucoup, elle était un fantasme… même s’ils n’osaient pas me le dire. Laurianne m’a souvent aidé, aussi. Quand j’étais adolescent et que je commençais à m’intéresser aux filles, elle m’avait donné bon nombre de conseils sur quoi faire, comment me comporter, et toutes ces choses importantes que tout le monde ne sait pas forcément. J’étais conscient que ma sœur n’était pas toutes les filles – et elle ne manquait pas de me le rappeler à l’époque – mais pour beaucoup, elles ont une façon de penser bien à elles que mon aînée a pu éclairer au jeune garçon ...
    ... ignorant que j’étais. Elle, en revanche, n’a pas eu besoin de moi. Elle a découvert les garçons par elle-même assez tôt, essuyant des échecs, se trompant sur son jugement tantôt positif, tantôt négatif. Jusqu’au jour où elle trouva le bon. Ma sœur était plutôt sage au début. Son premier fut en réalité un amoureux avec qui elle était depuis presque six mois. Ils sont restés un an de plus ensemble avant qu’il n’y ait séparation ; Laurianne continua de n’offrir ses faveurs qu’à des heureux élus de cœur, et puis les études, le temps passant, l’indépendance morale, le manque de temps libre, et l’âge aussi, l’ont petit à petit poussée à avoir des plans cul. Des amis surtout, des connaissances, quasiment jamais d’inconnus. Je ne l’approuve pas, mais elle avait même trompé un copain avec qui elle était. Il ne l’a jamais su ; ou du moins ne le montrait-il pas. Elle ne le lui a même pas avoué quand elle l’a quitté. Sans doute pour ne pas le blesser ; malgré cet écart, ma sœur demeurait une personne profondément gentille. Et moi dans tout ça ? Eh bien, à vrai dire j’ai fait un peu le même parcours qu’elle : sexe par amour au début, puis progression vers le plaisir sans engagement. Une progression effectuée sur un laps de temps plus restreint toutefois : ça fait maintenant deux ans que ma virginité repose en paix dans la chambre d’Ophélie. Est-ce mieux ou pire ? Qui s’en soucie, c’est la vie… Entre autres filles et bien qu’elle ne fût pas ma première, j’ai couché avec la meilleure amie de ...
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