Pour une Queue Montrée (1) - Histoires de Sexe

Pour une Queue Montrée (1)

... laisser une place. J’enlevai mes chaussures et m’assis à côté d’elle. — Hé hé, devine ! — Euh je sais pas… T’as déjà couché avec ou pas ? — Non, c’était la première. — Hum… Donc c’est pas Mathilde, c’est pas Émilie… c’est pas Marion… c’est pas Charlène… — Je t’avais déjà dit qu’elle me plaisait bien, et tu m’as dit qu’elle était sans doute open… et que c’était un très bon choix. — Euh… Oh ! Non, c’est Amandine ?! — Eh oui ! — Oh, mais c’est génial ! Raconte, raconte !!! Alors, bon choix ? — Très bon choix ! Aucun regret ! Et pour elle non plus, je pense ! J’expliquai à Laurianne comment j’avais procédé. Tout d’abord, que j’étais entré en contact avec Amandine sur Facebook et qu’on a déjà sympathisé. Puis avant-hier, nous nous organisâmes un rendez-vous à la base pour boire un verre et faire davantage connaissance. Mais comme je savais, grâce à Laurianne, que la jeune femme n’était probablement pas contre une coucherie, j’avais voulu directement jouer sur cette corde. En plus d’être une personne charmante, drôle et intelligente, j’avais découvert qu’elle aussi se plaisait à parler de cul sans complexe, « notamment avec des garçons » précisa-t-elle. — Donc on a fini par comprendre que voilà, on n’allait pas finir le rendez-vous juste sur cette note. Alors on a payé, on est sortis, puis elle m’a dit que c’était cool et qu’elle pensait rentrer. « Je t’accompagne ? — Si tu veux ! » — Ah, tu as bien appris les leçons que je t’ai dites ! Ensuite ? — Bah ensuite on a été au pied de ...

... l’immeuble, et comme elle est restée devant moi après m’avoir remercié et dit salut, j’ai demandé si elle était pressée et si elle avait beaucoup de choses à faire. Elle m’a dit que ça pouvait aller, et m’a demandé si je voulais venir boire un dernier verre chez elle. Je lui ai fait clairement savoir que j’avais compris son jeu ; je lui ai emboîté le pas, et à peine la porte de son appartement fermée elle m’a attrapé fermement à la veste pour me rouler une sérieuse galoche. Aussitôt elle et moi on a commencé à nous caresser vivement sur tout le corps. Ma sœur écoutait avec une attention vive qui m’encourageait à continuer. — J’ai l’impression que ça lui manquait, parce qu’elle m’a vite pris le paquet ! — Oh tu sais, nous aussi on peut avoir ce côté mec de nous jeter sur vos parties intimes. Même quand on n’est pas en manque. — En tous cas je ne m’en plains pas. Moi, je l’embrassais dans le cou en soufflant du nez, dans mes caresses je lui attrapais les fesses et j’ai commencé à bien bander. Mon histoire se poursuivait sous l’oreille entièrement engagée de Laurianne, qui souriait tout du long, parfois plus intensément. Je lui racontai qu’Amandine m’avait tiré vers sa chambre et que, pris d’une fougue de désir, je l’avais jetée sur son lit pour mieux la rejoindre et l’embrasser. — Elle a l’air comme ça, aimer laisser les mecs tout faire. Pourtant, pendant qu’on s’embrassait, elle défit mon pantalon et le baissa assez pour la mettre dans la bouche ! ajoutai-je en souriant. Ma ...