1. Pour une Queue Montrée (1)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Divers,

    ... sœur m’a demandé ce que sa pote avait pensé de mon engin, ce à quoi je répondis qu’il lui avait plu et qu’elle le trouvait beau à regarder. Que j’étais bien monté. Laurianne connaissait mes dimensions ; je lui parlais souvent de mes érections et de l’influence qu’elles avaient sur mon moral – la fameuse question « comment ça va ? » – et, quelques années auparavant, elle m’avait demandé par curiosité indiscrète si je m’étais déjà mesuré la verge. La question à laquelle aucun homme, surtout en fin d’adolescence et jeune adulte, ne pouvait répondre « Non ». Déjà, Laurianne m’avait dit que c’était pas mal. J’avais proposé à Amandine de faire un soixante-neuf, car j’avais envie de la lécher elle aussi. Nous nous déshabillâmes entièrement et je m’étais mis sur elle, la tête entre les cuisses. C’était une jolie chatte. Tondue court sur le pubis, mais complètement lisse sur les lèvres que j’avais sitôt fait de baiser, caresser et lécher pendant qu’elle s’occupait de moi. L’oral ne nous faisait pas peur, car au cours de notre conversation nous avions parlé de sexe, et entre autres du fait que nous nous dépistions régulièrement. Quand j’avais envie de coucher avec une fille, c’était un sujet que j’abordais à chaque fois parce que si c’est chouette d’entrer et sortir sa bite, qu’est-ce que c’était bon aussi de le faire avec sa bouche ! Les préliminaires n’avaient pas duré. La copine de ma sœur et moi étions très excités, son vagin était déjà très humide quand je l’ai doigté. Comme ...
    ... nous étions prêts, j’enfilai le préservatif préalablement mis dans ma poche de pantalon. — Puis elle a bien écarté les cuisses, je les lui ai prises et… bah on a baisé, quoi ! — Ha ha, mais moi ça me suffit pas ! Tu me connais : je veux TOUT savoir ! — Très bien ! Alors au début j’y suis allé doucement pour la laisser s’habituer. Comme toujours, c’était super bon d’être dans son vagin. Et puis quand ça commençait à bien glisser, hop ! Je me suis mis à aller et venir à bon rythme, ni flemmard ni marteau-piqueur. — J’espère bien ! Je veux pas qu’on dise que mon frère est un mauvais baiseur ! J’aurais l’air de quoi, moi ? Cette remarque nous amusa. Nous avions chacun notre réputation de bon coup, fallait pas déshonorer l’autre ! Surtout quand il s’agissait d’amies de ma sœur, qui lui en parleraient sûrement ! Je poursuivis mon récit dans les moindres détails : nos positions, les rythmes, les mots qui ont été dits et les sensations superbes que j’avais éprouvées. Pour moi, ce fut le pinacle quand Amandine m’a chevauché à l’envers, dos à moi. — Elle s’était penchée en avant, j’avais une vue de son cul… ! Et elle sait le tortiller ! Je voyais très bien ma bite dans son vagin, des fois elle passait un regard par-dessus son épaule. Le rythme était calme mais elle me faisait aller profondément en elle, elle ondulait des reins, c’était… ! — Tu as vu de très belles choses ! me fit ma sœur, très enthousiaste. — Ah oui, clairement. D’ailleurs ça m’a achevé. J’ai prévenu Amandine mais elle ...