1. Pour une Queue Montrée (1)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Divers,

    ... Laurianne et il nous arrive encore de nous voir pour ça. Ma sœur le sait, c’est elle qui nous a rapprochés… Et autant son amie que moi lui disons tout de nos galipettes. Ah parce que ça, Laurianne aimait savoir « ce que p’tit frère fait avec sa bite » ! Tout comme moi « ce que grande sœur fait avec ses fesses ». Elle savait tout de ma vie sexuelle et je savais tout de la sienne. Aucune pratique ne lui était inconnue, aucune. Parfois pour les meilleures expériences, d’autres fois pour les pires. Avec toutes les infos en ma connaissance, il y aurait de quoi écrire un livre ! Régulièrement, dès que l’un d’entre nous avait fait l’amour, nous racontions à l’autre en détail cet événement dès que possible. On en a passées, des soirées assis sur son canapé-lit à parler cul. À vrai dire, c’est plus à ma sœur que je dois mon éducation sexuelle qu’à l’école. Ayant seulement un peu plus d’une année d’écart, autant dire que nous étions du même âge et aborder les sujets plus adultes s’avérait plus facile que si j’avais quatre ou cinq ans de moins, surtout quand on était ados. M’est-il déjà arrivé de me masturber en pensant à ma sœur ? Ce serait mentir que d’affirmer le contraire. Surtout dans mes jeunes années encore vierges, le fait qu’elle m’énonce précisément et sans tabou ses ébats bousculait mes hormones. Savoir qu’elle s’épilait intégralement m’avait aussi fait de l’effet. Aujourd’hui que je baise à mon tour, ces fantasmes se sont pour ainsi dire éteints. Du moins ils sont beaucoup ...
    ... plus rares, et j’écoute les récits de Laurianne avec un vif intérêt, surtout indiscret. Une forme de voyeurisme ; pas parce qu’elle était ma sœur, mais parce qu’elle était une fille. Et les filles qui racontent les aventures de leur cul, c’est toujours très intéressant ! Je pourrais continuer longtemps sur notre proximité et notre confiance, mais je pense que c’est compris. On s’est déjà vus en sous-vêtements sans arrière-pensée. On a déjà dormi dans la même chambre, dans le même lit sans qu’il ne se passe quoi que ce soit – nous étions frère et sœur après tout – notre vocabulaire sexuel était clair et sans tournures plus ou moins adroites : on disait bite, queue, chatte, cul, baise… Je savais lesquels de mes amis avaient couché avec elle, et Laurianne celles avec qui je l’ai fait, car nous nous le sommes dit, parfois d’emblée. C’était justement le cas aujourd’hui. Deux heures avant, j’achevais une partie de jambes en l’air avec une de ses potes ; elle n’était pas au courant. Je me dirigeai vers sa chambre, d’où j’entendis les bruits d’un film ou d’une série. Mon doigt toqua. — Oui ? Je baissai la poignée et ouvris doucement la porte : ma sœur était sur son canapé déplié en lit, son ordinateur sur les genoux. — Lauriaaaaaanne… fis-je d’un air très malicieux. — Hum ? — J’ai fait l’amour avec une de tes amies ! — Ah ! dit-elle enthousiaste en arrêtant son film et posant l’ordi à côté d’elle. Vas-y, assieds-toi ! Raconte-moi tout ! C’est avec quiiii ? Ma sœur se décala pour me ...