Avec des amies comme ça… (19)
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
Trash,
... non. » Victoria avait bien insisté pour que je ne refuse rien. Je ne pouvais pas me permettre de foutre son plan en l’air. Je rectifiais vite le tir : « C’est-à-dire que je dois m’occuper de ma cuisine alors… je ne peux pas en même temps… — Eh bien, fais la cuisine toute nue. Allez, vas-y ! » Mince, je me trouvais coincé, je ne pouvais pas désobéir, sinon il saurait que j’étais là sous un faux prétexte. Très gêné, je commençais à retirer mon chemiser. Paul avait son verre de whisky à la main et ne ratait pas une miette de mon effeuillage. Fallait croire qu’il me trouvait plus intéressante que la télé. Vu mon absence de sous-vêtement, le strip-tease ne dura pas longtemps. Le père fut subjugué de voir que je ne portais pas de culotte. « Mais tu te balades quasiment à poil en fait. — C’est que euh… j’ai trop chaud à la chatte. » À peine prononcer je me demandais comment une telle réponse de salope m’était venue à l’esprit. Ma transformation en pétasse était spectaculaire même pour moi. Bien sûr être nu devant un homme mûr était des plus perturbants. Mais dans un coin de ma tête, j’étais surtout gênée de cuisiner à poil, ça ne me semblait pas hygiénique. Si Victoria voyait ça, elle pourrait penser que je méritais une punition. « Je ne peux pas rester comme ça… — Ah oui ? C’est très joli ce que je vois pourtant. — Oui, mais, votre fille... si elle me voit nue… » Bien sûr Victoria était habituée à me voir à poil, et dans toute sorte de positions scabreuses. Mais je doutais que ...
... son père le sût. Il infléchit sa position. Il devait tout de même tenir à donner une éducation morale à sa fille chérie. « Bon, prend ce tablier alors... » Et il me tendit un tablier de cuisine à rayures multicolores que je m’empressais de mettre. Au moins j’étais moins exposé. Ne sachant que faire, je me retournais pour touiller les casseroles. Je savais que par la même occasion je lui présentais mon derrière nue, mais quel choix avais-je ? Je me demandais s’il continuait de me regarder ou était retourné regarder sa télé. Je n’osais pas tourner la tête, j’avais honte. Il ne fallut que quelques minutes pour que je sois fixé, je sentis une main se poser sur mes fesses. « Mais, dis donc, on t’a donné des... euh. Des fessées... » J’avais oublié, cette "particularité", mais mes amies pour blaguer m’avait fait tatouer des marques de mains rouges sur les fesses, trouvant cela très drôle. « Oh, euh oui... C’est que... » je peinais à trouver une explication convaincante et c’est André qui trouva tout seul une bonne raison. « C’est à cause de ta maladie c’est ça ? Les gens pensent que tu te moques d’eux et ils te donnent la fessée. — Oui monsieur ! Tout fait ! — Ça doit te faire mal, je vais te masser les fesses. — Ce n’est pas... » Je me rappelais que je ne devais pas objecter quoi que ce soit et repris « Merci Monsieur, vous êtes vraiment trop gentil. — Ne t’inquiète pas, ça me fait plaisir de te rendre service. » Je sentis alors ses mains se poser sur ma croupe et pétrir mes fesses ...