1. Avec des amies comme ça… (19)


    Datte: 12/06/2019, Catégories: Trash,

    ... comme s’il me massait. Ça ne l’empêchait pas de me parler : « Alors comme ça t’aimes être nue, hein… t’es une exhibitionniste en fait. — Non… Enfin oui, mais c’est que... c’est une maladie comme Victoria l’a dit. — Ouais… Et sentir ma main sur tes fesses t’aimes ça. » Ses mains n’étaient plus que sur mes fesses, l’une commençait à descendre vers ma chatte, l’autre avait un doigt qui tournoyait autour de mon trou du cul. Lui-même s’était rapproché, je sentais son corps contre le mien. Je ne pouvais pas dire non, et n’étant pas douée pour jouer à "ni oui ni non", je choisis de me taire. « Ouais t’aimes ça… » Il continuait à jouer avec mon corps, à travers le tablier il se mit à me pincer les tétons avec tant d’insistances qu’il parvint à me faire gémir. « J’en étais sûr... marmonna-t-il ». Je sentis alors une tige se presser contre mes fesses, il avait sorti sa bite. Et il lui fallut peu de temps avant de la glisser dans ma chatte. J’étais assez décontenancé. Je ne protestais ni ne l’encourageais. Je continuais à cuisiner, pendant qu’il me culbutait. Ce n’était pas facile, il me rentrait sa queue bien fort, me faisant bouger tout le corps. Je me tenais aux bords de la cuisinière. Mais ma position était des plus précaire et je tentais de soulever ce point : « Monsieur, je ne peux pas cuisiner et… Victoria sera mécontente si on ne mange pas. — Mais non, mais non… Tu vas y arriver. » Sous ses bons encouragements, je dus continuer à m’assurer de la cuisson de la viande pendant ...
    ... que je sentais sa verge me défourailler la chatte. Et puis il me palpait le corps, prenant son temps pour me palper toutes les parties. Avec une préférence pour me peloter les nichons, mais d’autres fois il tirait sur mes hanches pour s’enfoncer plus fermement dans mon con. Et tout ce temps, il haletait contre ma nuque. Son souffle sur ma nuque m’agaça, pour l’éloigner de moi je demandais « Voulez-vous des herbes de Provence sur votre côte de porc ? — Oui, vas-y ! Vas-y ! » Je n’étais pas sûr que son esprit lubrique ait compris la question et je dus insister : « Où sont-elles ? » Il me désigna un placard, je voulus m’y rendre, mais il ne me lâchait pas. Je tentais de faire quelques pas, mais le père de Victoria me tenait les hanches si fermement que je ne bougeais pas d’un centimètre. Je pris une bonne inspiration et tentais de me libérer. Mais au lieu de lui faire lâcher prise, je faillis me casser la gueule. Il me tenait par mes cuisses tandis que j’évitais de me cogner tête la première contre le carrelage de la cuisine en me rattrapant sur les mains. J’étais dans une situation des plus ridicule, les jambes perpendiculaires aux siennes, sa bite fourrée bien profond dans ma foufoune, et mes mains servant uniquement à ce que je ne me vautre pas par terre. Et malgré ça, il ne faisait aucun effort pour m’aider à me relever ; ses seuls mouvements étaient encore et toujours pour me pistonner la chatte. C’est donc en faisant la brouette que je me déplaçais, lui me guidant à coup de ...
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