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Avec des amies comme ça… (19)
Datte: 12/06/2019, Catégories: Trash,
... queue dans l’abricot. On finit par arriver devant le placard. « Euh Monsieur, je voudrais prendre le flacon d’herbes… — Bien sûr ! Bien sûr ! » Soit il ne comprenait pas que j’étais dans l’incapacité de saisir le condiment dans ma position, soit il n’en avait rien à foutre. Comme il n’avait pas tellement l’air de se soucier de la cuisine, mais seulement des cent et une façons de me marteler ma cramouille, je devais agir seule. Avec un effort herculéen, je poussais d’une main et m’agrippais à une étagère. Je gravis ainsi peu à peu les étagères pendant que mon trou à mouille recevait sa portion de bite. J’arrivais finalement à l’étagère où étaient stockées les herbes de Provence ! Hélas le rentre-dedans que je subissais me fit vibrer et je laissais tomber le flacon en plastique par terre. Je retombais, les mains au sol, me retrouvant par la même occasion à nouveau en position de brouette. Je penchais la tête pour saisir le flacon entre les dents. Je retournais au fourneau me déplaçant sur les mains, une bite toujours profondément enfoncée en moi. André m’encourageait comme il le ferait pour un cheval ou une bête de somme. « Allez ! Allez ! On avance ! À gauche ! Là ! » Me houspiller de cette façon ne l’empêchait pas de me fourrer copieusement de son dard. Je me sentais tellement morveuse... alors qu’il me dirigeait, je sentis que de ma chatte se mettait à couler une bonne quantité de mouille. Il fallait croire que de me faire diriger et commander me faisait jouir - est-ce que ...
... je me transformais en soumise idiote ? En tout cas, arrivée devant la cuisinière, il relâcha mes jambes pour je puisse finalement me redresser. Je versais une portion - bien trop grande - d’herbes car c’est à ce moment que je sentis ma chatte se contracter autour de sa bite. Cela fit aussi effet sur lui, car il finit son affaire en me déchargeant son foutre dans la chatte. « Hu ha ha hu. » Il haletait, avait du mal à reprendre sa respiration. Je m’inquiétais ! Victoria ne me pardonnerait jamais si son père avait une crise cardiaque juste après m’avoir baisée. Elle penserait tout de suite que j’étais la responsable, et elle me virerait. « Monsieur ! Vous allez bien ? » Il ne répondait pas, cherchant juste à reprendre son souffle. J’allais chercher une chaise pour qu’il puisse s’asseoir, lui versais un grand verre d’eau et lui mettais le verre aux lèvres. « Trop longtemps pas baisé… murmura-t-il — Oui. Calmez-vous — Mais ça fait du bien. — J’en suis sûr. — J’ai plus la forme pour faire ça. C’est trop physique, je veux pas avoir d’arrêt cardiaque. » Moi non plus je ne voulais pas qu’il fasse un infarctus ! Si Victoria rapportait ça à Hélène et aux autres, ce serait la fin. Elles me chasseraient de leur groupe, me libelleraient comme meurtrière ! Mais... si ça pouvait le dissuader de me tringler pendant que je suis occupée à cuisiner, alors autant en profiter. « C’est vrai ! C’est trop dangereux de me faire l’amour comme ça ! Il vous faut du repos. — Je suis content que tu sois ...