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L'appartement
Datte: 27/08/2017, Catégories: fh, ffh, couplus, nympho, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fsodo, fantastiqu, couple+f,
... qu’à me dire. Je vais nettoyer cette cage d’escalier, vous ne pourrez pas me rater. Le téléphone de Valérie vibra dans sa poche. Un message. — Ils sont là ! La quinquagénaire posa son balai. Elle alla quérir un trousseau et ouvrit les deux battants de la porte cochère, aidée par l’un des déménageurs. Le camion fut rapidement rentré et trois costauds rejoignirent leur chef qui distribua rapidement les ordres. — Messieurs, bonjour ! Les trois ouvriers passèrent devant elle. Les odeurs mêlées de cigarette et d’alcool réveillèrent son animosité contre la gent masculine. Le chef vint lui faire la bise, qu’elle s’efforça de maintenir aussi lointaine que possible. — Bonjour, Bertrand. Vous êtes passés par le salon ?— Moi oui. Françoise m’a donné cela pour toi. Il lui tendit une liasse de papier. — J’ai pris les autres en route. C’est où ?— Au troisième. Il y a un ascenseur. Les propriétaires viennent de monter. Se penchant pour remercier la concierge, elle l’entendit marmonner. — … propriétaires, eux… hum… s’il était là… Elle ne resta pas et grimpa à la suite de la troupe. Quand elle parvint à l’appartement, tout le monde y était déjà entré. Le contraste de température entre la cage d’escalier et la pièce l’assomma un peu. Il lui fallut quelques secondes, pendant lesquelles tout le monde était suspendu à ses lèvres, pour reprendre pied. — Bertrand, voici la liste pour vous. Tous les gros meubles partent. Les bibelots que nous emporterons ont été empaquetés et posés dans les ...
... caisses, derrière cette porte. Quadra en pleine force de l’âge, Bertrand vint saisir la feuille que lui tendait Valérie. Encore concentrée sur son venin contre les hommes et leurs mauvaises manières quand elle les avait accueillis, elle n’avait pas noté à quel point Bertrand était craquant, ce matin. « Craquant ! Mais ça ne va pas ma petite ! » pensa-t-elle. « C’est une brute écervelée et le petit ami de ta patronne. Ah ça ! elle ne doit pas s’ennuyer tous les jours… » « Et ce cul… Je glisserai bien mes mains sur ce petit pantalon ! » Valérie rougit de cet échange silencieux tandis que les quatre déménageurs quittaient la pièce pour démonter et convoyer les meubles. Quand elle se tourna vers ses clients, elle se douta que la femme avait eu des pensées similaires aux siennes. Les joues empourprées, Madame n’avait toujours pas quitté Bertrand et son impressionnante carrure des yeux. Valérie cherchait une remarque fine pour briser le silence lourd qui commençait à s’installer. — Il fait chaud ici, n’est-ce pas ? « Raté pour la finesse ! » ajouta-t-elle en son for intérieur. En prononçant sa phrase, elle avait en effet croisé le regard de l’autre femme qui acquiesçait imperceptiblement, entre torpeur et excitation. Valérie fit rapidement le tour des radiateurs de cette pièce. Tous étaient éteints. Elle entrouvrit donc une fenêtre, laissant entrer la clameur de la rue parisienne et une bourrasque fraîche qui se tut rapidement. Elle tira une liasse de papier de son sac qu’elle posa sur la ...