L'appartement
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
nympho,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fsodo,
fantastiqu,
couple+f,
... table. — Vous êtes donc madame Sophie Renoult, née Seyrac, accompagnée de monsieur Jacques Renoult, votre mari. Valérie leva les yeux pour recevoir leur approbation. Le fait d’ouvrir la fenêtre avait peut-être eu un léger effet. Sophie Renoult semblait plus décontractée que quelques secondes plus tôt. — Vous êtes domiciliés à Paris, rue de Rennes. Sophie répondit par un sourire à son nouveau coup d’œil. — Et nous sommes réunis aujourd’hui afin que je prenne en charge la vente de trente-huit pièces de mobilier et de quelques bibelots ayant appartenu à Marie-Élisabeth Seyrac, mère de madame Renoult.— C’est bien cela, répondit Sophie dans un souffle. Elle s’était approchée et avait posé ses mains sur la table pour regarder la liste des pièces concernées, copie de celle que Valérie avait donnée à Bertrand quelques instants auparavant. Des détails, dans son souffle un peu court et dans sa position, trop cambrée, intriguèrent Valérie. Elle porta son attention sur Jacques Renoult. Toujours rigide, il faisait mine de regarder, lui aussi, la liste des meubles par-dessus l’épaule de sa femme. En y réfléchissant, Valérie rosit. Dans sa position, il avait dû avoir une vue parfaitement dégagée de la poitrine de la jeune femme. Le décolleté de sa chemise de satin n’était pas très provocateur, mais il s’ouvrait en effet largement quand elle se penchait. Il n’avait pas pu voir grand-chose à l’exception de bribes de dentelles blanches. Cette pensée la fit pourtant prendre conscience de ce ...
... petit malaise qui montait dans son ventre. Mettant cela sur le compte de la chaleur suffocante de l’appartement, elle dégrafa sa veste qu’elle déposa sur la chaise. Elle comprit alors le changement d’attitude de Sophie. Pendant qu’elle retirait la veste, elle avait en effet pu observer que, tout rigide qu’il soit, Jacques Renoult n’en malaxait pas moins vertement le postérieur de sa femme. Le souffle court et la position cambrée de celle-ci s’expliquaient donc. Adroitement, Valérie prétexta un tour de l’appartement pour laisser le couple. Aucun radiateur n’était allumé dans les pièces qu’elle visitait. Celles-ci se vidaient. Les quatre déménageurs travaillaient vite. Les peintures étaient vieillottes, mais les volumes vides étaient impressionnants. Même si elle travaillait depuis deux ans pour l’antiquaire d’un quartier huppé de la capitale, elle avait rarement eu l’occasion de visiter de si grands appartements. Il y avait au moins cent vingt, peut-être cent cinquante mètres carrés. Du couloir, il lui sembla avoir trouvé la raison de la température bouillante. La chambre de l’ancienne propriétaire semblait rayonner dans le couloir. Elle ne passa la porte qu’au prix d’un effort contre sa volonté. Mais là encore, le radiateur semblait éteint et la fraîcheur extérieure n’apporta qu’un court instant de bien-être. Elle quitta la pièce avec soulagement, pour venir heurter le plus lourdaud des déménageurs. Cheveux gras, ventre débordant, il la gratifia d’un sourire moustachu et d’une ...