L'appartement
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
nympho,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fsodo,
fantastiqu,
couple+f,
... petite claque sur les fesses. — Eh bien ma grande ! Fais attention où tu mets les pieds. Faudrait pas que tu t’empales sur un de nos outils ! Si le double sens de cette dernière phrase ne lui sauta pas aux yeux immédiatement, c’est que Valérie n’avait perçu que la version salace. Elle avait d’ailleurs immédiatement pu constater que "le gros", ainsi que ses collègues le hélaient, cachait maladroitement un objet pointu à proximité immédiate de sa braguette. Elle le contourna et ne s’émut pas de sentir le retour de l’énorme paluche. Les trois autres suivaient. Elle s’écarta à peine à chaque fois. Frôler leurs corps odorants de travailleurs ne la gênait finalement pas. Elle en rajoutait, même, et appuya carrément sa poitrine contre celle de Bertrand quand ils se croisèrent. — Tu devrais retourner voir tes copains, pendant qu’on vide la chambre. C’est pas qu’ils ont l’air de s’ennuyer, mais on a plus que la chambre. Si tu veux que tes papiers soient signés… Il joignit le geste à la parole et la poussa, une main sur la fesse, vers le salon, avant d’entrer à son tour dans la chambre Jacques n’avait jamais apprécié les visites chez sa belle-mère. Si la vieille mégère ne l’avait jamais ouvertement critiqué, il savait qu’elle ne pensait pas du bien de lui et sa femme. Elle avait toujours préféré son autre fille, dont la mort, jeune, n’avait pas eu raison de cette méfiance. Mais surtout, il n’avait jamais apprécié le climat lourd qui avait toujours régné ici. L’air y avait toujours été ...
... accablant, parfois brûlant comme aujourd’hui, d’autres fois glacial. Son malaise ne faisait qu’augmenter tant qu’il restait dans ces murs et ne disparaissait qu’après de longues minutes quand il sortait. Après des années de ces sensations, loin de s’habituer, il développait une appréhension plus grande encore à chacune de ses venues. Bizarrement, cette fois, les choses ne se passaient pas comme habituellement. Le fait que la matriarche ne vive plus ici, probablement. Qu’elle ne soit pas là, devant eux, à les toiser de ce regard vert qui semblait vous transpercer pour traquer vos vices. Non, cette fois était bien différente. Le malaise était apparu. La tension était montée d’un cran quand Valérie avait étalé ses atours sous ses yeux. Mais il avait alors osé poser sa main sur les fesses de sa femme. Elle n’avait rien fait pour le renvoyer et il avait pu, discrètement, la peloter comme un collégien. Puis la fille était partie. Sophie n’avait pas changé de position, mais avait remonté sa jupe sur ses bas noirs. Elle était fébrile, il l’avait aidée à la monter encore aux genoux, jusqu’au-dessus des bas. Il avait pu caresser le petit pli de peau. Elle l’avait remontée encore, dévoilant ses fesses, sur lesquelles il avait posé ses deux mains, pétrissant les deux rondeurs. Au passage d’un déménageur, Sophie avait rapidement balayé sa jupe sur les bras de son mari. Mais elle ne voulait pas qu’il relâche ses caresses. Il avait fait mine de retirer ses mains, mais elle en avait maintenu ...