L'appartement
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
nympho,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fsodo,
fantastiqu,
couple+f,
... pour permettre à Jacques de se positionner et s’enfonça de nouveau sur le pieu. Elle s’attendait à une douleur vive et fut surprise de la rapidité avec laquelle son corps s’adapta. En quelques allers-retours, le plaisir avait repris le dessus. Elle ferma les yeux pour mieux sentir son mari en elle. Quand elle releva la tête, elle put voir Valérie entrer dans la pièce. Valérie ne fit pas attention au couple en entrant. Elle sentait son corps vibrer. Elle avait apprécié les mains qui s’étaient étalées sur ses fesses. Elle en voulait encore. Elle en voulait plus. Depuis qu’elle était entrée dans cet appartement, ses beaux discours sur les hommes s’étaient envolés. Elle en voulait un entre les jambes - ou deux, même. Cette chaleur qui gênait la respiration ajoutait à son trouble. Ces bruits, ces cris étouffés qu’il lui semblait entendre. Son regard fut arrêté par un tissu qui traînait sur le sol. Elle s’avança, le ramassa et fut saisie d’excitation. Devant elle, la quinqua coincée avait laissé la place à un succube échevelé qui ne parvenait pas à étouffer complètement le plaisir que lui provoquait la sodomie. À peine à un mètre de l’action, elle était hypnotisée par la vision de ce couple en rut. Sophie lui fit signe de s’approcher, ce qu’elle fit, à quatre pattes. Sans prendre le temps ...
... de réfléchir, elle plongea ses lèvres au contact des chairs tendres de Sophie, happant son clitoris qu’elle suça goulûment. Elle remonta sa jupe afin de s’asseoir plus confortablement et plongea de concert ses doigts dans sa fente et dans celle de sa compagne. Dans la chambre, pendant ce temps, les quatre déménageurs étaient parvenus à démonter l’armoire qu’ils avaient entreposée dans le couloir. Ils firent rapidement tourner les vis qui maintenaient le lit, dans une atmosphère de plus en plus lourde. Bertrand fit une pose. Sa tête tournait, il se voyait prendre Valérie pendant que la propriétaire le suçait. Georges, en face de lui, avait l’air hagard. Jamais il n’avouerait qu’il s’était vu rempli par Bertrand ! Enfin, le lit fut déposé. Au moment où les derniers morceaux étaient dissociés, les quatre hommes reçurent comme une claque de chaleur. La vague vint frapper le trio, dans ce qui était le salon. Ils jouirent de concert, Valérie sous ses doigts, Sophie en sandwich et Jacques dans l’anus de Sophie. Quand les déménageurs entrèrent dans la salle, quelques minutes plus tard, les pantalons maculés de l’intérieur, pour qui l’aurait noté, et la tête pleine de fantasmes, les trois amants étaient rhabillés, mais groggy. Moins de dix minutes plus tard, l’appartement était vide. À suivre