1. LES BONS PETITS VIEUX


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... m’approchant d’elle pas après pas. Au passage, je me suis saisis de la culotte. - Il vient de me le donner. Juste avec ses yeux. N'est-ce pas René. Renchéris-je, en examinant sous tous les coutures. Quand je trouvais l’endroit adéquat, je la portais à mes narines, humant son fumet. Alors que j’arrivais à porter de mains de Louise, elle posa les siennes sur mon torse velu, avec douceur. J’étais étourdi par tant de sensations agréables. Je rendais sa caresse, en posant ma main sur son pubis. Entre les poils rêches, j’ai tout de suite senti sous mes doigts une chair molle. - Humm Alain, continue, c’est très bon, j’adore ça me faire toucher comme ça… avoua-t-elle, tout en me regardant droit dans les yeux. Un léger sourire flottait sur ses lèvres brillantes. La coquine ouvrait tant qu’elle pouvait le compas de ses jambes. Faisant saillir son buste avantageux. Cela me donnait envie. Mais avant tout il me fallait m'occuper de la fermeture Éclair qui fermait encore sa robe sur le dos. Je pris entre deux doigts la languette et tirer vers le bas. Au fur et à mesure de la descente du curseur. Les pans de la robe s’ouvraient. Donnant droit à une vision affolante. Une paire de seins aux pointes dressées. Sur le divan René s’était mis à son aise. Il avait mis à l’air, sa queue bien raide, décalotter. Se caressant sagement, les yeux aimantés sur ma bouche, qui suçotait l’un après l’autre les gros bouts mauves aux larges aréoles très sombres. Elle soupirait de plus en plus. Pour ...
    ... accentuer ce contact excitant je tétais encore plus fort. Allant jusqu’à mordiller les grosses pointes de chair, les étirant violemment à l’aide de mes dents. Un éclat étrange illumina les yeux de Louise. Nos bouches s’étaient rejointes pour un bon gros patin. Une salive alcoolisée passait d’une bouche à l’autre. - Tu m’excites tu sais Louise, soupirai-je en pétrissant ses fesses dénudées. - Alors prends-moi. Ces mots agissaient chez moi comme un détonateur. Je m’enfonçais d’un coup brutal au fond de son vagin. Elle se cramponnait à mes épaules tandis que je la soumettais à des ruades féroces qui la collaient durement contre la table. Un instinct sauvage s’empara de moi. Son souffle devint plus rapide au fur et à mesure que je martelais son ventre. Assuré de tenir le choc, je la soulevai pour la souder plus intimement à moi. Elle comprit le message en nouant ses jambes autour de ma taille. Chacune de mes mains sur une fesse pour la maintenir, je lui faisais subir mes impétueuses offensives. J’étais dopé au plaisir. Sans aménagement, ma queue allait, venait, avançait, reculait, pénétré, écartait. Malgré toute ma vigueur, et pour mon plus grand désarroi, Louise ne réagissait pas. Comme si elle était insensible à ce que je lui faisais. Mon expérience sur ce genre de mésaventure me préconisa de chercher la solution plus bas. Tout en continuant de la besogner, je glissai ma main sur sa fesse. Jusqu’à pouvoir toucher du doigt la corolle anale. J’utilisais mon index comme une sonde. La ...
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