LES BONS PETITS VIEUX
Datte: 16/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pistonnant quelques instants avec mon doigt. Jusqu'à sentir ses muscles se détendre. Un deuxième doigt vint à la rencontre du premier. Deux valaient mieux qu’un pour assouplir convenablement le trou. Il se laissa assouplir, s’élargir. Il était temps pour moi de changer de gare. À la mesure de mon sexe. Pour cela je la déposais sur la table. Devinant ce qui aller suivre, elle réagissait en essayant de se dérober et dans un cri, dit : - Non, pas par là… c’est sale Alain. Pourquoi j’aurais-je écouté ? Sans aide, je poussais d’un coup de reins, mon gland contre l’entrée de son anus. Mon membre pourtant plus ou moins lubrifié par la précédente pénétration fit un dérapage incontrôlé. Je me suis saisis de ma queue et la guidais fermement vers son lieu d’hébergement, où manifestement je n’étais pas la bienvenue. Quand enfin mon gland a pénétré, la sensation a été si voluptueuse que j’ai eu du mal à me retenir de crier. Je le lui fis part - Regarde un peu ça. Ton cul est en train d’avaler ma queue. Quand je fus enfoncé jusqu’aux couilles dans le trou du cul dilaté, elle se mit à trembler de tous ses membres. Son rectum se moulait comme un gant autour de moi. Je donnais une impulsion à ma verge, tandis que Louise poussait un gémissement, en secouant la tête. Je surpris René la queue tendue à l’extrême. Un drôle de morceau, qu’il avait entre les jambes, le René ! Le genre de truc qui devrait faire du bien à une femme. Je fis coulisser ma queue hors de son cul. Sans pour autant faire ...
... sortir le gland. Gardant ainsi le sphincter en bonne dilatation. Les mains en appui sur les hanches de la coquine, je commençais un lent mouvement de va-et-vient en conservant toujours le gland dans l’anus. De savoir, en plus, que j’accomplissais cela devant du mari me procurait une excitation encore plus forte. Autant que voire ma verge coulissait sans effort et ça, sans provoquer de remarques de la bouche de Louise, qui semblait appréciait. Les yeux fermés, je l’écoutais ronronner de plaisir. Elle ondulait, venant au-devant de ma verge pour essayer de m’introduire encore plus loin. Ses lèvres laissaient passer des gémissements rythmés sur mes poussées. - Oui, Alain… Oui, Alain… Oui, Alain…, disait-elle à chaque fois que mon gland l’engloutissait et que mes couilles venaient frapper ses cuisses. Encouragé par ses plaintes, je changeais le rythme. Avec des mouvements plus amples, plus violents aussi. C’est alors que j’entendis des flashs crépitaient derrière moi. J’ouvrais les yeux pour apercevoir mon René, appareil de photo en main, immortalisant ce qui devait être la première enculade de Madame. Il m’en fallut pas plus pour la dérouiller de plus belle. Sortant totalement ma verge du cul avant de la réintroduire dans le passage maintenant grand ouvert. La violence était si grande que la table avait du mal à se maintenir sur place pour le plus plaisir de Louise. - Ouiiii… plus fort… Oui plus fort… Ça vient ! Oui ça vient. C’est bon… Je jouis… Oui, Alain, je jouis… Pris de ...