54.10 Docteur P’tit Con et Mister Classe
Datte: 16/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... de l’embrasure de la porte, le bassin un peu en avant, l’attitude nonchalante et très très virile, position qui me rappelle certaines pauses cigarettes entre deux séquences de coups de reins. Le bogoss passe les doigts dans ses cheveux bruns pour les ramener en arrière ; puis, il finit par glisser les deux mains dans les poches. Une seule envie à cet instant, celle de lui arracher sa chemise et de me jeter sur sa braguette offerte, affamé de lui ; ou bien son parfait opposé, celle de défaire les boutons un à un, de découvrir petit à petit sa peau, ses petits poils qui repoussent, les délicieuses odeurs retenues par le coton boutonné ; de titiller sa puissance virile par-dessus le pantalon, de la sentir monter en puissance, de faire enrager la bête avant de la libérer et de la laisser exprimer toute sa fureur. C’est bien dommage que Jérém ne prenne jamais sa pause avec ses tenues du taf… qu’est-ce que j’aimerais le pomper dans cette tenue ! Je le fixe tellement que le bogoss finit par remarquer ma présence. Je le vois plier le cou, plisser les yeux, jouer l’étonnement avec ses sourcils ; mais ce que je vois surtout, c’est son putain de sourire brun incendiaire, ce sourire qui réchauffe cette journée maussade à bloc, ce sourire qui ferait ressembler un mois de janvier au pôle Nord à un mois de juillet au Sahara. Le bogoss sourit et me fait signe d’approcher. Alors, je n’ai plus le choix, mes jambes m’amènent toutes seules, je m’engage pour traverser la route. Au fur et à ...
... mesure que j’approche, sa chemise dévoile d’autres détails de sa perfection. Les pans avant mettent en valeur ses pecs bombés, juste ce qu’il faut, pas trop moulés, mais bien suggérés, donnant à la fois une impression de coupe ajustée et agréable à porter. Voilà la magie provoquée par la rencontre divine d’une coupe parfaite et d’un corps divin. La tenue ne fait peut-être pas le moine, mais elle contribue sérieusement à mettre en valeur un bogoss. A moins que ce ne soit le bogoss qui met en valeur la chemise. Si elles savaient, ces pouffes (Pouffe = nana dont le seul et impardonnable défaut à mes yeux est son envie de se taper mon Jérém) qui le dévorent des yeux, qui lui tapent la discute ; si elles savaient le torse de fou, les merveilles plastiques et sexuelles qui se cachent sous cette belle chemise, si elles savaient à quel point je les connais par cœur ; si elles savaient à quel point cette bombasse de serveur me fait l’amour comme un dieu, et à quel point il prend son pied avec moi : ça les calmerait, et pas qu’un peu ! J’approche et je suis de plus en plus ébloui par la couleur immaculée du tissu ; ébloui par le contraste saisissant avec sa peau mate et bronzée, avec sa crinière brune au brushing impeccable, avec son regard ténébreux mais souriant ; ébloui par la couleur noire de la cravate, du pantalon, des chaussures, comme un rappel du côté très brun de toute sa personne. Je suis désormais devant lui, nos regards se rencontrent, s’aimantent. Son sourire ne quitte pas son ...