54.10 Docteur P’tit Con et Mister Classe
Datte: 16/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... comme son frère… ». « Ils sont venus sur Toulouse fêter le permis de son pote Gildas… » il enchaîne comme s’il n’avait pas entendu mes mots « il vient tout juste de l’avoir… Maxime va le passer dans pas longtemps… ». Je me trouve ridicule à avoir ressenti de la jalousie en assistant à cette complicité et à cette déconnade qui n’étaient en fait que des retrouvailles de frérots. « Vous êtes très proches ? ». « Mon petit frère est toute ma famille… il est tellement adorable mon Maxou à moi… ». « Il est beaucoup plus jeune ? ». « Tout juste deux ans… ». Les quatre jeunes finissent par prendre la direction du centre-ville ; en marchant, le beau Maxime tient sa copine par la taille et lui pose un bisou dans le cou. « Regarde-le s’il n’est pas mignon… un vrai petit mec… » fait Jérém, attendri et touchant au possible. « Il a l’air adorable, oui… il fait quoi dans la vie ? ». « Il va aller à Paul Sabatier à la rentrée, il va être ingénieur, c’est une tronche lui… ». Un client l’appelle. « Je reviens… » fait-il en détalant aussi sec. Je suis vraiment touché par la petite scène qui vient de se dérouler : je suis ému par les regards, les mots, les intonations de la voix trahissant l’affection et la tendresse infinies que mon bobrun éprouve pour son petit frère. C’est beau quand la tendresse s’exprime dans le regard d’un mec tel que Jérém. Une tendresse qui ne fait qu’amplifier encore l’infinie sexytude que dégage mon bobrun dans sa putain de chemise blanche. La chemise blanche, tout ...
... comme le t-shirt blanc, autre grand basique, ou classique, du vestiaire masculin. D’ailleurs, les deux vont souvent ensemble, et si bien ensemble ; j’adore deviner, sous une chemise blanche, ou d’autre couleur d’ailleurs, la marque des manchettes d’un t-shirt blanc ; ou bien, dans le creux de un, deux, trois, boutons ouverts, découvrir le col arrondi, le coton immaculé qui s’arrête juste en dessous de la clavicule, détail si sexy à mes yeux ; tout comme je trouve furieusement sexy de voir les deux pans de la chemise ouverts, en dehors du pantalon, dévoilant tout le t-shirt blanc, lui aussi en dehors du pantalon, tenue débraillée de fin de soirée où la pipe est dans l’air. Mais nous sommes en été, et nous sommes à Toulouse. Et même si le temps est un peu maussade, cela ne justifie pas la superposition de deux couches de coton sur son beau torse. Mais quand-même… qu’est-ce que j’adorerais voir le col rond d’un t-shirt blanc dépasser du col de la chemise, deviner la ligne des manchettes du t-shirt sous le tissu de la chemise ; ou, encore, voir sa tenue complétée par une putain de veste, une veste de jeunz, avec une coupe à la fois élégante et sportive. J’imagine tout cela, sans même savoir si je serais capable d’encaisser le choc supplémentaire. Je me sens bander. Mais putain, même sans t-shirt et sans veste, qu’est-ce que j’ai envie de le pomper dans cette tenue ! Le bogoss revient me voir. Je viens tout juste de finir ma bière. « C’est chaud le dimanche après-midi… » je lui lance. ...