1. Le monde des hommes-chiens. (1)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Divers,

    ... avec ma sœur et des fonctionnaires bien transpirants, pour notre seule virée extra-européenne, entre l’Argentine et le Chili... tous mes plans cul en extérieurs, tous, tous sans exception... mais aucun en intérieur. Et qui plus est, je me voyais comme si on m’avait filmée avec une caméra ou, pire, comme si je la tenais moi-même. Je voyais les couilles du douanier chilien danser entre ses jambes alors qu’il me prenait sauvagement par-derrière tandis que je suçais son supérieur dont le sexe velu sentait fort l’homme, je les voyais (les couilles) comme si j’avais eu le nez dessus...(d’ailleurs, je l’avais eu le nez dessus mais pas au même moment bien sûr). Je filmais en gros plan ma vulve gonflée comme un fruit mûr qui éclate et libère son sucre. Je voyais mes amants me prendre et même, je les voyais au scanner ! C’est comme si j’avais baisé avec quelqu’un me filmant avec une puissance machine d’imagerie médicale, tout en détail ou de l’intérieur. Je voyais un jeune puceau se vider les couilles pour la première fois dans une chatte, la mienne, et sa capote se remplir de son liquide à en faire presque péter le réservoir... Je voyais les doigts de ma sœur me chauffer la raie, je voyais mon cousin Charlie, éjaculer dans ma bouche cachés entre deux bagnoles sur le parking le soir du mariage de son frère et le sperme descendant dans ma gorge jusqu’à l’œsophage, ou le geyser de foutre jaillissant de la queue du copain de ma sœur qu’elle avait testée sur moi, grosses gouttes de sperme ...
    ... entre mes seins, ramassées du bout des doigts et réintroduites dans ma chatte. Bref, je me regardais faire l’amour, extérieure à moi-même et pourtant, simultanément j’avais l’impression d’être quelqu’un d’autre, comme un pervers matant une scène à la dérobée et j’en avais une étrange chaleur dans le bas ventre Je me réveillai en sueur, en nage, mais avec un étrange mal-être en pleine nuit, saisie d’une forte oppression. La tente était éclairée faiblement par une douce lueur orangée qui venait du dehors. Charlotte n’était plus là. La tente était ouverte et le pan de voile servant de fermeture flottait mollement sous le souffle d’un courant d’air chaud. Je sortis. Charlotte était debout, complètement nue dans la touffeur de la nuit. Le ciel était couvert d’une légère brume orange qui émettait cet éclairage inhabituel et diffus. — Qu’est-ce que tu fais là Chacha ? — J’ai fait un rêve bizarre, je suis sortie, regarde la couleur du ciel, c’est curieux non ? — Moi aussi j’ai fait un rêve dingue. Je me suis vue en train de faire l’amour avec tous les plans cul que j’ai eu. — Pas tous les plans. — Ah si je t’assure. — Non pas tous, j’ai eu le même rêve... que les plans extérieurs. — Tiens, oui, c’est vrai, maintenant que tu le dis... Comment tu sais ? — Une intuition... Et tu as joui ? — Non même pas, c’était... c’était, dérangeant... — Oui, oui... tu trouves pas que le ciel est de plus en plus bizarre ? — Oui, en effet, orangé de plus en plus... les étoiles disparaissent. Il faisait ...
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