1. 54.9 SUITE de "Un beau mâle brun et très très chaud"


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    J’ai tout juste le temps de capter son regard empli d’un sourire et d’une étincelle ô combien lubriques ; déjà ses mains m’attrapent, me saisissent, me retournent ; sans presque m’en rendre compte, je me retrouve allongé sur le lit, sur le ventre, maîtrisé par le poids et la présence musclée du bogoss complètement étalé sur moi, sa queue insistante et pressée cherchant à nouveau à s’enfoncer entre mes fesses. Mon bobrun bande dur à nouveau, sacré jeune étalon. Je regarde les grands chiffres rouges de mon radio-réveil sur la table de nuit, elles affichent 18 h 02 ; mon bobrun doit le voir comme moi, nous regardons dans la même direction ; ses gestes ont d’ailleurs un je-ne-sais-quoi d’hâtif et d’impératif que, pour le coup, je ne sais pas si je dois l’attribuer à sa fougue ou à l’heure qui presse pour lui. Quoi qu’il en soit, sacré polisson, mon beau mâle brun ne peut se soustraire à l’envie irrépressible de me défoncer une dernière fois, avant de reprendre son service. Il a envie de moi, il a sans cesse envie de moi. Alors je m’offre à lui, ma bouche, mes mains, mon ti cul : tout mon corps est à lui, offert à sa jouissance. Le beau mâle brun me prend, s’enfonce en moi, m’envahit ; il me fait sentir à lui, et rien qu’à lui ; sentir le poids de son corps écrasant le mien, la chaleur de sa peau irradiant sur la mienne, la prise de ses mains imposant la domination de sa masse musculaire ; me sentir empalé, dominé, enivré par sa puissance sexuelle : c’est un plaisir insoutenable. ...
    ... Le bogoss fait glisser ses mains et ses avant-bras sous mes aisselles, entravant mon corps, ne lui laissant d’autre choix que de s’offrir d’accepter, de seconder, de participer à sa jouissance ; par cette prise, nos corps brûlants, nos excitations vibrantes, nos jouissances à venir, ne font plus qu’un. Ses coups de reins sont puissants, réguliers, sans fioritures, de ceux qui vont tout droit au but, et par le chemin le plus court. Car le bogoss est pressé ; pourtant, il prend quand même le temps d’envoyer ses mains fébriles tenter de se faufiler entre la couette et le haut de mon torse ; une tentative que je facilite en prenant appui sur mes coudes, en relevant mes épaules ; le temps d’un éclair, les bouts de ses doigts atterrissent sur mes tétons, commencent à les pincer doucement, à les caresser, à les exciter ; je pars en orbite ; le radio-réveil vient de passer de 18h07 à 18h08 et l’allure de ses coups de reins passe à la vitesse supérieure ; sa recherche du dernier orgasme est une délicieuse course contre la montre mais le bogoss ne se prive pas pour autant du bonheur que je sais être le sien de mordiller ma peau, mon oreille. « T’as envie que je te gicle bien profond ce coup-ci ? ». « Je n’attends que ça… ». « Je vais te remplir… » fait-il, la voix cassée par la déferlante de son orgasme. « Fais-toi plaisir, beau mâle, remplis-moi de ton jus… » Mon ti cul envahi par sa puissance de mec, chauffé par ses va-et-vient ; les tétons enflammés par les caresses chaudes de ses ...
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