1. 54.9 SUITE de "Un beau mâle brun et très très chaud"


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... pas prêt à les entendre. Je regarde ses pecs saillants, ses abdos sculptés, alors que sa présence virile est toujours bien vive et brûlant entre mes fesses, au plus profond de moi : je n'arrive toujours pas à réaliser que ce petit Dieu vivant vient de jouir une nouvelle fois en moi ; que, depuis des mois, il m’offre chaque jour sa jeunesse, sa virilité, sa bogossitude. Le bonheur d’avoir, de savoir sa semence dans mon ventre, c’est quelque chose qui dépasse presque mon entendement, comme si c’était un bonheur trop grand pour moi, et que je ne le méritais pas ; pourtant, c’est un bonheur qui me fait sentir vraiment à lui, qui me fait sentir bien : mon corps réagit au sien, à son plaisir, à cette énergie de mâle qu’il injecte en moi, à ce cadeau chaud et parfumé qu’il m’offre à chaque fois. Je voudrais garder en moi à tout jamais ce bonheur, sa jouissance. Encore fou d’excitation, je me dis que, dans l’alchimie de nos plaisirs, c’est lui, le mâle, qui détient tous les éléments, la puissance, l’énergie qui la rendent possible ; alors que moi je n’ai que mon petit cul et ma bouche à lui offrir, c’est sa puissance sexuelle qui nous embrase, c’est sa semence brûlante qui nous fait jouir tous les deux. Mais à tête froide, j’arrive quand même à me dire que c’est bien l'envie de moi met le feu à ses sens : en fait, j'ai autant besoin de lui pour jouir, que lui il besoin de moi pour jouir. En deux temps et trois mouvements, le bogoss a passé son boxer, son short et ses baskets, et ...
    ... il s’apprête à quitter ma chambre avec son t-shirt et sa casquette à la main, certainement avec l’intention de les passer chemin faisant, avant d’arriver à la porte d’entrée. J’enfile mon boxer et mon t-shirt à la va vite, je le suis dans le couloir, dans l’escalier, dans l’entrée ; le bogoss est pressé, il avance vite, le t-shirt et la casquette toujours à la main. Dans l’entrée, il se retourne, tente de passer le t-shirt, il fait tomber sa casquette, il la ramasse, il se rend compte que ça entrave ses mouvements ; geste inattendu et trop mignon, profitant de ma proximité, il l’encastre sur ma tête avec un geste un peu brusque, certes, mais tellement adorable, geste accompagné par un sourire ravageur au possible. Je suis touché, heureux, ému, j’ai envie de l’empêcher de partir, de le serrer dans mes bras, de le couvrir de bisous ; j’ai presque envie de pleurer face à ce petit geste ; sa casquette qui comprime mes cheveux, qui enserre mon front, comme une caresse de mon Jérém qui ne s’avouerait pas. Je tourne la tête vers le miroir juste à coté, je me trouve beau avec sa casquette ; mais ce que je trouve encore plus beau, beau et déchirant à la fois, c’est le reflet de mon Jérém qui attrape le t-shirt bleu intense par le fond, apprêtant à le passer sur son torse, à dissimuler sa plastique de ouf, se préparant à partir. Je me retourne vers lui, préférant l’original au reflet, et je suis une nouvelle fois happé par l’envie délirante de bouffer cette plastique parfaite avec ces ...
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