1. Muse stagiaire


    Datte: 20/06/2019, Catégories: fh, grosseins, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral nopéné, jeu, merveilleu,

    ... curiosité était trop forte. Le plus discrètement possible, je tournai la tête et la découvris les yeux clos, une main sous son chemisier et une autre plongée sous sa jupe qui s’agitaient avec une frénésie qui ne laissait aucun doute sur la proximité de son orgasme. De quelques coups de crayon j’esquissai les contractions de son visage, les plis de ses yeux, les traits de ses lèvres pincées pour contenir sa jouissance. Tout son visage était le symbole de l’extase. Quand elle reprit ses esprits après un long râle, elle rougit aussitôt, visiblement confuse. — Pardon… bafouilla-t-elle. Je suis désolée, mais… de te voir dessiner, créer, ça m’a tellement excitée… je ne pouvais plus me contrôler.— Ce n’est rien. Au contraire : c’est difficile à expliquer mais… ta présence et ton extase… ça m’inspire. Regarde ! Je lui tendis le croquis de son visage. — C’est… moi ? J’acquiesçai. — La vache, reprit-elle, je ne me suis jamais vue en train de jouir et… c’est très beau. Elle hésitait à me prendre des mains le dessin. — C’est pour toi, hésitai-je.— Vraiment ?— Vas-y, j’en ferai d’autres. Il le faudra bien.— Pourquoi ?— C’est toi, ton visage, ta jouissance ! C’est toi qui seras l’identité visuelle deMy gode ! ; il faut juste que j’arrive à simplifier les lignes, réduire au maximum les traits inutiles pour ne garder que l’essence du plaisir que tu incarnes si bien.— Je suis très flattée, murmura-t-elle en déposant un tendre baiser sur ma joue. Mais ça veut dire que je vais devoir… "poser" ...
    ... pour toi. Elle avait mimé les guillemets avec les doigts, comme pour souligner qu’elle avait bien compris la nature de la prestation que j’attendais d’elle. — Ce sera avec grand plaisir, dit-elle avec une moue mutine avant d’attraper son sac et sa veste et de quitter le bureau. Je consultai ma montre ; il était plus de dix-huit heures. Nous n’avions pas pris de pause déjeuner ni même bu un café. * * * Quand elle se présenta le lendemain matin, elle affichait toujours son adorable sourire. Elle portait cette fois une jupe plissée qui lui donnait un air coquin qu’elle n’avait pas la veille. Ses jambes étaient gainées de noir et j’eus la confirmation qu’il s’agissait de bas quand elle prit place dans le canapé. J’entrevis la dentelle d’un porte-jarretelle. Comme la veille, ses seins étaient libres, mais cette fois elle avait opté pour un top à fines bretelles et moulant. Elle avait attaché ses cheveux en une queue-de-cheval. — Tu verras mieux mon visage ainsi, dit-elle en me désignant sa coiffure.— Absolument, et… ça te va très bien.— Merci. Comment on procède ? hésita-t-elle.— Comme tu le sens, répondis-je en haussant les épaules. La veille, tout était arrivé naturellement. Là, je ne m’imaginais pas lui dire « Tu te fous à poil sur le canap’ et tu te masturbes jusqu’à jouir. » ; j’étais bien trop mal à l’aise pour ça. C’était pourtant un assez bon résumé de ce que j’attendais d’elle. Que cette osmose de la veille la mène vers le plaisir et moi vers l’inspiration. — Commence par ...
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