Muse stagiaire
Datte: 20/06/2019,
Catégories:
fh,
grosseins,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
nopéné,
jeu,
merveilleu,
... dessiner, proposa-t-elle.— D’accord. En arrivant, j’avais intentionnellement tourné la table à dessin vers le canapé de sorte qu’elle puisse s’y installer et me voir travailler tandis que je ne perdrais rien des expressions de son visage. Je pris un crayon et, comme la veille, me laissai aller à griffonner ce qui me passait par la tête, à savoir sa poitrine telle que je l’imaginais. Contre toute attente, elle ne s’assit pas sur le canapé et vint s’installer à gauche de la table. Elle pouvait ainsi voir mes dessins. Après quelques coups de crayon, il ne lui fut pas difficile de deviner ce que j’étais en train de représenter. Lentement, elle souleva son tee-shirt et me dévoila les originaux, plus ronds et majestueux encore que la pâle image que je m’en faisais. Je pris une nouvelle feuille et, le modèle sous les yeux, crayonnai cette fois une bien meilleure représentation de ses seins. J’entamai aussitôt un dessin de ses fesses et, une nouvelle fois, elle comprit le message, laissant tomber sa jupe au sol et se tournant pour me présenter son joli petit cul. La ficelle du string qui disparaissait entre ses fesses fut rapidement éjectée elle aussi. Il lui fallait se contorsionner pour pouvoir suivre mes traits de crayon tout en me montrant ses fesses, ce qui leur donnait un galbe particulièrement excitant que je m’empressai de reproduire. Elle n’attendit pas que je commence un autre dessin pour approcher une chaise, s’y asseoir et replier les jambes jusqu’à poser les talons sous ...
... les fesses au bord de la chaise en se cambrant vers l’arrière. J’entrepris aussitôt le dessin de ses petites lèvres d’où jaillissait un adorable clitoris déjà rouge de désir ; le tout était surmonté d’un rectangle de poils blond foncé parfaitement taillé. Elle écarta un peu plus encore les cuisses et se cambra au maximum, me libérant l’accès à son anus que je croquai aussitôt. J’étais à nouveau dans cette sorte de transe qui, malgré mon excitation, me permettait de produire des esquisses d’une qualité dont je m’ignorais capable. Quand son index affleura son mamelon, j’entamai un nouveau croquis, d’ensemble celui-ci. Rapidement, elle prit à pleines mains ses seins, et peu après fit glisser ses doigts vers son mont de Vénus. Je les vis plonger tour à tour entre ses lèvres, glisser sur son clitoris puis rouler autour de son anus. Je dessinais avec avidité, électrisé par le spectacle de son corps offert. Lorsque je sentis son excitation grandir, je repris une feuille pour capter les expressions de son visage. Elle ne se retint pas et jouit sans se contenir, me permettant de capter une image différente de son plaisir, tout aussi admirable que la veille. — J’adore ce stage, plaisanta-t-elle en découvrant mes dessins.— Nous touchons au but, je crois…— Déjà ? minauda-t-elle en se léchant l’index.— On peut peaufiner, rectifiai-je. Ni elle ni moi n’avions envie d’arrêter. Elle avait besoin autant que moi de ces séances. J’avais envie d’elle, évidemment, mais je me contenais, convaincu ...