1. Les amants de Lady Schneckerley (1)


    Datte: 20/06/2019, Catégories: Hétéro

    Cette histoire a pour cadre le royaume d’Angleterre et ses possessions aux Amériques dans les premières des années du règne du roi George III (1760-1820). Pour faciliter la compréhension de nos aimables lecteurs, les mesures utilisées dans le récit ont été converties à partir des unités britanniques selon le système métrique introduit en France par la loi du 1er vendémiaire de l’an IV (23 septembre 1795). A titre d’exemples les mensurations d’un sexe en érection seront exprimées en centimètres et non pas en inches (pouces) comme dans les pays anglo-saxons. Ainsi un pénis en érection de 8 inches est exprimé comme faisant 20,32 cm (On écrira "à peu près 20cm" dans le récit). Mon père, un homme sans cœur et n’ayant pour amour que l’argent m’annonça peu avant mon 19 ème anniversaire que j’allais épouser lord Schneckerley. Il n’y avait rien à dire, rien à faire. Si ma mère avait encore vécu, peut-être m’eût-elle protégée. Mais elle était morte depuis longtemps. Du reste j’espérais secrètement que mon époux m’apporterait un bonheur que je ne connaissais pas chez mon père. Je demandai donc à la vieille Ann, ma camériste, de se renseigner sur cet homme que je ne connaissais pas et dont j’aurai désormais à partager l’existence. Mon père m’avait dit que le comte, dont la fortune était considérable dans le Surrey, le Middlesex, le Kent et le Sussex, avait également de grands biens dans les îles à sucre, de quoi m’assurer une position enviable dans le monde. Mon futur époux m’avait ...
    ... aperçue lors de mon premier bal pour ma présentation officielle et mes charmes l’avaient séduit. Quant à moi, n’ayant d’yeux que pour les belles toilettes et les jeunes gens, je ne l’avais pas remarqué. Sans me dire un mot, il avait demandé ma main dès le lendemain. Conquis par sa fortune et la réputation de son nom, mon père avait immédiatement accepté Ann m’appris que l’homme était un vieil aristocrate de grande famille, ancien officier de marine et qu’il avait plus du triple de mon âge. Je ne fis la connaissance de mon époux que le jour des noces. Dès le premier abord il me répugna. C’était un homme plus petit que moi, très droit pour son âge de 70 ans à peu près et d’une affreuse maigreur. Il était toujours flanqué d’un ancien matelot qui était l’opposé physique de son maître, un homme d"une quarantaine d’années, nommé Calldick, grand comme le sont les gallois, gros et roux qui me fut d’emblée aussi antipathique que son maître. Il y eût peu d’invités comme il était traditionnel quand un veuf se remariait, et veuf il l’était trois fois, sans aucune descendance. Mais il se faisait fort prétendait-il en se croyant galant qu’avec une telle épouse, il serait bientôt père. Quand les invités furent partis, je me retrouvai seule dans ma vaste chambre. Ann avait été assistée des domestiques du comte mais elle n’avait été autorisée à rester près de moi et on c’était arrangé pour éloigner sa chambre de la mienne. J’avais dû passer une chemise de nuit en gaze très légère et très ...
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