Les amants de Lady Schneckerley (1)
Datte: 20/06/2019,
Catégories:
Hétéro
... transparente. J’appréhendais cette nuit de noces, encore que je ne fusse pas tout à fait innocente. J’avais, chez mon père, surpris plusieurs fois les ébats des domestiques entre eux, surtout celle d’un valet magnifique, Robby, qui plaisait à toutes les femmes qui vantaient, sous le secret, ses volumineux appâts et dont j’avais eu honte de ressentir en moi qu’il m’attirait et plus honte encore quand ce désir m’avait fait découvrir les plaisirs solitaires. Mais j’étais toujours vierge. Dans le fond, la dureté de mon père m’avait donné une certaine force de caractère grâce à laquelle la tristesse qui m’envahissait ce soir ne tournait pas au désespoir. Mon mari entra dans la pièce. J’étais debout auprès de la cheminée et la lueur du feu éclairait mon corps qui se dévoilait sans peine sous la légèreté du tissu. Le vieil homme, vêtu d’une grande robe de chambre me dévisagea : "Ah, des formes parfaites. Foutre Dieu, la belle femelle... Ah, Madame, nous allons bien nous réjouir ensemble". Je ne partageai pas son optimisme. Il s’ouvrit alors sa robe de chambre. Sa nudité était hideuse. On ne voyait que sa peau très pâle qui recouvrait ses os qu’on eût pu dénombrer un à un. Il était couvert de quelques touffes de poils blanchis sur les épaules, les bras, les cuisses et le torse, ainsi que sur son bas-ventre où pendait, minable, une petite grappe informe. Il m’approcha. Il m’embrassa. Il puait. Puis il me caressa les seins et mit sa main entre mes jambes. Je frissonnai de dégout. Il ...
... dut prendre cela pour un encouragement: "Hmmm on dirait que vous m’attendiez Madame..."! Alors il me prit par la main et me jeta sur le lit. "Ecartez le jambes". Je m’exécutai. Il y plongea la tête, déchira plus qu’il n’écarta la frêle robe de gaze qui me recouvrait. Alors je sentis son haleine fétide sur ma toison et sa langue fouilla mes entrailles. Je fermai les yeux pour penser à autre chose. Il remonta sur mon corps et me mordit le bout des seins à me faire mal. Je me retins de hurler et de le frapper mais je priai pour que ce cauchemar s’arrête. Puis il me couvrit de tout son corps. Ses doigts étaient ceux d’un squelette et je sentais ce corps sans chaleur et sec comme du cuir craquelé tenter de s’emparer de moi. Cependant la petite chose molle qui se frottait contre mon sexe restait absolument inerte. "Allons Madame, mettez-y du vôtre. Ne faites point votre mijaurée". Je répondis que je faisais de mon mieux et que je ne savais pas comment m’y prendre. "On va vous apprendre ma belle..."! Et aussitôt il se releva et vint plaquer son organe contre ma bouche. "Allez, sucez " ! Je tournai la tête et répondit que je trouvai cela répugnant" Il me saisit par les cheveux brutalement à deux mains et m’ordonna presque en criant : ’Sucez vous-dis-je"! Je n’eus d’autres choix que d’avaler cette ridicule coquille repoussante. Il eut beau s’agiter, il eut beau exiger de moi que je remue ma langue en tous les sens, son sexe restait désespérément flaccide. Il rentra dans une forte colère ...