Les amants de Lady Schneckerley (1)
Datte: 20/06/2019,
Catégories:
Hétéro
... nous allons la déflorer maintenant Calldick. — A vos ordres Mylord. E t il se redressa pour mettre son gros nœud sur ma raie. "Non pas vous Calldick ! c’est à moi que cela revient"! — C’est trop juste Mylord, mais, sauf votre respect,t vous n’êtes pas encore en état. — Eh, cornes du Diable, je le sais bien. La gueuse me résiste mais je sens que tout à l’heure elle gouttera de ma trique. Mais en attendant, voyons ce qu’elle dira de cela. Et il prit dans le placard un énorme phallus en bois. bghbvvjw "Que pensez-vous de cela Calldick"? — Je dis de cette pine qu’elle a dû être sculptée d’après un étalon Mylord. — Allons -y. Alors mon époux et seigneur introduisit l’énorme masse en moi. Je la sentis écarter mes chairs et malgré mon courage, je ne pus laisser échapper un cri de douleur. "Enfin Madame, nous y voilà"! Puis il se mit à faire aller et venir cet instrument à toute vitesse, me meurtrissant le fond. Enfin il le retira, entraînant avec lui un mince filet de sang et de mouille. "Regardez Calldick. La garce m’a bien été vendue pour ce qu’elle était, une pucelle". — C’est heureux pour Monseigneur. Et mon mari suça le trophée de bois. "Hmmm délicieux Calldick, délicieux... voyez, je commence à bander". — En effet Mylord. — Alors allez-y. Excitez-moi bien cette pouliche, mais attention! n’allez pas vous répandre à l’intérieur, ne me faîtes pas un bâtard, réservez-moi la place. — Ce sera fait Mylord. Calldick me remit sur les genoux au bord du lit et lui debout derrière. Ses ...
... mains puissantes agrippèrent mes hanches et sa verge me pénétra. Le godemiché, plus gros, avait ouvert la voie aussi n’éprouvai-je que peu de douleur. "Elle est à vous Calldick. Fourrez-la sans retenue mon garçon. Vous savez que cela me stimule" — Comptez sur moi Monsieur. et il se mit à me rudoyer. "Alors petite catin, on ne veut pas satisfaire son maître! Prends cela! Tiens, prends ma queue salope"! Je protestai auprès de mon mari : "Monsieur, comment pouvez-vous tolérer de prostituer ainsi votre femme et de me laisser insulter comme la dernière des femmes de rue par un domestique. Je suis comtesse de Hemlessex ". Pour toute réponse de mon mari je reçus une immense gifle qui m’eut fait tomber si je n’avais pas été maintenue par les mains puissante de Calldick. "Et bien, madame, la comtesse, votre mari vous dit de vous taire et de le satisfaire selon son droit. Maintenant sucez ma queue et rendez hommage à ce brave garçon qui m’est un serviteur fidèle"! La bite avait enfin commencé son ascension et il se mit à aller et venir dans ma bouche. Calldick me maltraitait du verbe et du geste. Ses cuisses tapaient sur mes fesses qui claquaient à un rythme soutenu. Je sentais ses testicules balloter et toucher ma vulve ou l’intérieur de mes jambes. Ses mains frappaient parfois mon postérieur avec violence tandis que les insultes pleuvaient. "Toutes des chiennes et les petites vierges plus que les autres! Avoue que ça te plait, avoue que tu aimes la bite, t’aimes être prise par nos deux ...