1. Les amants de Lady Schneckerley (1)


    Datte: 20/06/2019, Catégories: Hétéro

    ... : "Ah petite putain, vous refusez donc ce que votre mari vous demande" ! Il hurla : "Redressez-vous, à genoux..."! Je me disposai donc ainsi qu’il le voulait. Il s’approcha du mur près du lit. Il appuya sur une moulure et le panneau s’ouvrit qui cachait un placard secret dans lequel je devinai plusieurs objets. Il se saisit d’un cravache et aussitôt il me cingla les fesses de plusieurs coups très vifs. Je me mordis les lèvres pour ne pas crier me promettant à moi même qu’un jour il me paierait cette humiliation. "Et maintenant, nous allons voir si vous voudrez encore atermoyer et vous dérober à vos devoirs"! Malgré ce traitement qui me mit les fesses au bord du sang, il ne bandait toujours pas. Alors il se dirigea à nouveau vers la cloison et ouvrit une porte dérobée que je n’avais pas remarquée et qui donnait sur un palier ou s’arrêtait un étroit escalier. Il cria : "Calldick ! Calldick !". Il n’eut pas a attendre longtemps. J’entendis une porte s’ouvrir puis des pas lourds dans l’escalier et, enfin le factotum apparut. "Yes Mylord "? — Voyez Calldick ! Regardez-moi ! La bougresse ne veut faire aucun effort. — C’est regrettable Mylord. — Il faut s’en occuper Calldick, entendez-vous ? — Yes Mylord ! — Bien. Allez- y ! N’est-ce pas une agréable jument ? — Si fait Mylord. — Ah tudieu! Il faut qu’elle me fasse jouir. Montez-la, Préparez-la moi! Mettez-la en train ! — Bien Mylord. La brute galloise vint vers moi, défit sa chemise et baissa son pantalon. Il était dans des ...
    ... dispositions plus glorieuses que son maître et me semblait même dépasser le membre de Robby que j’avais aperçu quelques fois avec des palpitations non équivoques qui me faisaient comprendre que j’eusse bien voulu en tâter. A ce que je pus en juger, ce vit bandant qu’il exhibait sans pudeur devant une femme encore innocente pouvait approcher les 20 cm. Il fut en un instant sur moi, me retourna et me mit le dos sur le lit. Ses doigts aussi gros et gras que ceux de mon mari étaient secs et minces me saisirent les mollets. Il plia mes jambes les ramenant vers moi et il se mit à me lécher la vulve. Il faut dire que tout en m’inspirant la plus profonde répulsion, je dus reconnaître l’extrême délicatesse de son toucher qui contrastait sans peine avec les manières de soudard de lord Schneckerley. Il y mit un tact dont je ne l’aurais pas cru capable et, malgré, moi, malgré les efforts que je faisais pour fixer mon esprit vers autre chose, je me mis a frissonner de plaisir... et rapidement je trouvai cela plus qu’agréable. Je me mis à rêver de Robby. Néanmoins je ne voulais pas laisser croire que j’y prenais un quelconque plaisir, aussi retins-je mes cris, mais pas mon bassin qui commença à onduler sous le feu qui commençait à me dévorer. "Regardez Mylord, la monture commence à se débourrer". — C’est bien Calldick ! Mouille-t-elle ? — Affirmatif Mylord ! — Ah Foutre Dieu, Calldick, vous n’avez pas votre pareil pour allumer le cul d’une femelle ! — Eh, eh, on le dit Mylord! — Parfait parfait, ...