1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (25)


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Dit-elle tellement confuse qu’elle ne put terminer sa phrase. — Oui tu couches avec mon fils, tu peux me le dire. Qu’est-ce que tu veux que j’y fasse ? Je ne vais pas vous donner la bénédiction et répéter ce qu’à dit son père. Franchement, qu’espères-tu avec Patrick ? Réponds-moi sincèrement Véronique, je reste ta sœur. Ajouta-t-elle toujours d’un ton calme. — Ce que j’espère ? Pour l’instant je suis heureuse, mais c’est un peu tôt pour te dire la suite. — Véro tu as 43 ans, il en 25 et tu oublies que tu es sa tante. J’ai beaucoup de mal à te comprendre, je crois que tu as perdu le sens des réalités. Tu nous fais beaucoup de mal et ça me parait tellement impensable. Tu nous as mis devant le fait accompli et ça reste très difficile pour nous d’admettre…enfin il va me falloir du temps comme à Michel, maintenant si ça n’est qu’un accident, nous fermerons les yeux sur cette ignominie. Proposa-t-elle. — Oui c’est un accident, mais Patrick m’a invitée ce soir et pour lui, il prend notre relation au sérieux…euh il n’est pas le seul non plus. — A t’écouter, tu te poses en victime ! Vous n’allez pas vivre ensemble quand même ? Véro, tu as perdu la tête pour me dire de telles inepties. Tu as pensé à tes enfants ? Quelle image tu leurs renvoies en couchant aves leur cousin ? S’emporta-t-elle, ne pouvant contenir sa colère, somme toute bien légitime. Face à cette avalanche de questions, ma tante s’effondra en larmes et me tendit l’appareil. Ma mère n’exagérait en rien avec son ...
    ... tempérament cash. Brutalement elle ramenait sa sœur à la réalité avec des questions autant concrètes, que dures à encaisser. La partie était en train de se jouer et Véro lâchait prise, perdue dans les méandres de notre relation incestueuse. Si je n’intervenais pas au plus vite, ma tante allait se retrouver au bord d’une dépression profonde, rongée par ce sentiment de honte, de culpabilité qui l’habitait, d’autant plus que ma mère la rejetait avec autorité. Je repris le téléphone. — Maman, je couche avec Véro que tu le veuilles ou non. Tant pis si c’est ma tante, mais je suis bien avec elle. De deux choses l’une, ou tu nous rejettes carrément et on se verra plus, ou alors tu acceptes sans pardonner, mais tu acceptes ! Dis-lui ta décision, qu’on en termine. — Ne t’énerve pas Patrick…mais toi à notre place, tu admettras que c’est dur à avaler ! Me rétorqua-t-elle. — Si tu veux mon bonheur, réconforte Véronique et ne sois pas si stricte ! Je couche avec elle parce qu’elle me plait et arrête de la traiter comme une rien que moins, je te la repasse. En tendant le combiné à ma quadra défaite. — Véronique, excuse-moi, je me suis emportée et rappelle-toi de ce que l’on avait dit à Noel. Quoiqu’il arrive, je te soutiendrai. Je ne change pas de cap et tu restes ma sœur…bon je t’embrasse. Conclut-elle avec des bips, nous indiquant qu’elle venait de raccrocher. Certes ma mère avait abrégé l’échange, sans donner l’occasion à sa sœur de lui répondre, ce qui ne fut pas plus mal à dire vrai. Ces ...