Séduction délicate de la soeur de ma mère (25)
Datte: 22/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... derniers mots l’avaient touchée, elle ne se sentait plus totalement rejetée et le verbe soutenir prenait tout son sens dans pareille situation. Loin de se sentir libérée, elle esquissa un léger sourire et soupira un grand coup en étirant ses bras vers le plafond, comme une sorte de soulagement. A la voir ainsi merveilleuse de sensualité, je n’eus qu’une idée en tête, la baiser. Mais pour y parvenir, je me devais de me montrer adroit, habile avec des mots choisis. J’entamai ainsi une analyse positive sur l’attitude de ma mère. Certes sur le forme, on ne put que lui donner raison, mais sur la fond je notai ses excuses et le rappel de sa promesse faite à Noel. Ainsi Véronique se lâcha quelque peu, adoptant un état d’esprit tourné vers l’avenir, en me parlant de notre périple prévu pour Biarritz et l’interrogation pour garder notre fils. Puis elle bailla et se leva en prenant soin de replier sa pauvre serviette, triturée dans tous les sens lors du coup de fil. Debout à mon tour, j’allais quitter la cuisine quand Véro m’apostropha. - Patrick, je sais ce que tu as dans la tête, mais j’endure tellement de choses en ce moment. Surtout ne m’en veux pas, je sais que tu en meurs d’envie, mais avec toi je ne me forcerai jamais. En me faisant un smack, comme pour s’excuser. J’accusai le coup tant ma déception fut grande. Véro s’en aperçut et vint m’enlacer en me serrant contre elle. Elle ne resta pas bien longtemps, sentant mon désir se manifester physiquement. Puis nous regagnâmes ...
... notre chambre comme des vieux. Sitôt au lit, j’éteignis ma lampe de chevet, faisant comprendre par cette action que je ne tenterais rien et qu’un bon dodo m’attendait. Au regard des circonstances, le mot bon me sembla exagéré et il eut été préférable de le substituer à un adjectif tel que paisible, caractérisant par ailleurs notre relation depuis près d’un mois. Véronique conserva sa chemise de nuit pour se blottir contre moi, maigre consolation pensais-je. Le regard vissé au plafond, je ne trouvai pas le sommeil et ma tante, embarrassée de me voir dans cette espèce de léthargie me réconforta. — Tu m’en veux Patrick ? — T’es dans une mauvaise passe, ma mère, comme tu as pu l’entendre, ne ferme pas la porte. Elle est comme toi, il lui faut du temps pour admettre que nous couchons ensemble. Je te signale qu’à ses yeux, ce soir, il s’agit de la deuxième fois que je dors avec toi. Lui dis-je avec une voix monotone. — Ah oui, il faudra que je ne fasse pas de boulette ! Ton père est au courant pour Hugo, mais lui, c’est une tombe. Ajouta-t-elle en me caressant le torse. — Bon Véro, arrête parce que ça commence à m’exciter ! M’exclamai-je avec une érection infernale. — Excusez-moi…euh pour l’instant je suis trop perturbée, je ne pensais que je réagirais de la sorte. Je suis vraiment désolée Patrick, mais mes sentiments n’ont pas changé pour toi et pour Biarritz, que fait-on avec Hugo ? On ne peut pas le confier à Anne, là on va trop loin, tu as une idée ? En retirant sa main devenue ...