0205 Non, ce n’est pas un rêve.
Datte: 28/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... bassin de mon beau mâle brun ; après plusieurs jouissances, une odeur un peu forte mais délicieuse, s’échappe du coton fin et me rend fou. Je glisse mes doigts dans le boxer et j’en extrais sa queue à nouveau raide, magnifique, conquérante. Un instant plus tard, le boxer a volé, mais le t-shirt n’a pas quitté son torse de malade ; j’ai tellement envie de le pomper jusqu’à le faire jouir ! La cheminée flambe et chauffe, et je suis en train de sucer le garçon, l’homme que j’aime, dans cette tenue sexy à mort, ce t-shirt blanc qui est comme une deuxième peau, avec une manchette qui tombe pile au-dessus de son brassard tatoué, alors que l’autre s’amuse à jouer à cache-cache avec son nouveau tatouage, avec cette chaînette de jeune mâle posée sur le coton ; et moi, je ne cesse de me répéter que c’est pas possible d’être sexy à ce point ; et aussi que j’en ai de la chance, putain, de pouvoir connaître l’amour et le plaisir avec cette bombasse de mâle ! Pendant que je m’emploie à lui procurer un maximum de plaisir, ses mains caressent mes épaules, mon cou, le bas de la nuque, ses doigts d’évertuent à agacer mes tétons, me poussant violemment vers le précipice de la folie. Mon Jérém frissonne, souffle très fort, fou de plaisir ; sa queue bien raide me remplit la bouche et me remplit de bonheur ; je sens que je ne vais pas tarder à lui offrir un nouvel orgasme ; je devine que, dans pas longtemps, son jus de mâle va tapisser mon palais de ce goût enivrant qui me rend dingue. Je ne me ...
... trompe pas. « Je viens… » je l’entends lâcher, comme à bout de souffle. Je kiffe à mort l’entendre m’annoncer l’arrivée de son plaisir ultime, j’adore l’entendre me l’annoncer sur ce ton, la voix cassée, débordée par le plaisir. Les giclées qui percutent mon palais sont nombreuses, puissantes : et qu’est-ce qu’elle est bonne sa semence de jeune mâle ! « Tu veux ma peau… » fait-il, essoufflé. « Non, juste te faire plaisir… ». Je lui fais des bisous. Sa respiration est toujours très profonde, très rapide, elle ne semble pas vouloir se calmer. Le bogoss est en nage, il se débarrasse de son t-shirt blanc. « Ça va ? » je lui demande. « Oh, oui… c’est juste que quand j’enchaîne comme ça, à chaque fois c’est plus violent… ». « Je veux te rendre fou de plaisir… ». « T’as envie de jouir, toi ? » il me demande, le regard rivé sur mon boxer déformé par l’érection. « Plus tard, Jérém, y a le temps… ». Si tu savais, mon Jérém, à quel point je suis bien là ; j’ai adoré te sucer, sentir que tu prends ton pied, te faire jouir, recevoir tes giclées, les avaler : tu n’imagines même pas à quel point mon bonheur suprême réside dans le fait de te faire jouir, toi, à quel point ta jouissance est ma jouissance. T’as joui, ça me suffit, je n’ai besoin de rien de plus. Mon plaisir à moi commence et s’arrête avec celui de mon bomâle. « T’es tellement sexy… alors, tu vas devoir assurer… ». « Tu vois bien que j’assure… » il se marre, le coquin. Puis, il se lève, s’approche de la cheminée, il s’assoit sur ...