Ardente voisine
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
fplusag,
... sa blouse s’était largement écartée et il avait semblé au jeune homme apercevoir une tache sombre à la jointure des cuisses féminines. Cette vision à laquelle il ne s’était pas attendu, lui donna à penser que sa sensuelle compagne ne portait pas plus de culotte qu’elle n’avait de soutien-gorge. À l’idée que son hôtesse était entièrement nue sous sa blouse, une bouffée de chaleur l’avait submergé. Tendant l’oreille en direction de la pièce où Laura avait disparue, il surprit la conversation qu’échangeaient le père et la fille. — Ça va Papa ? disait Laura. »— … …. »— Tu es bien ? Tu n’as besoin de rien ? … C’est bon, je te laisse regarder la télé ! Tu m’appelles si tu as besoin de quelque chose ! Je suis à la cuisine !… Comment ? … … Oui, Monsieur Merval est encore là ! » Guillaume dont l’intense désir lui vrillait le bas-ventre, le faisant bander comme un âne, surveillait d’un œil allumé la porte derrière laquelle son égérie avait disparu. Lorsqu’enfin il la vit réapparaître, son cœur s’emballa : Laura, avec un air complice tira derrière elle la porte de la salle de séjour, sans la fermer tout à fait. Puis pénétrant dans la cuisine, elle en fit autant, repoussant la porte derrière elle, sans non plus la fermer complètement. Posant un doigt sur ses lèvres, pour lui intimer le silence, elle s’avança rapidement jusqu’à lui. Arrivée prés du jeune homme dont la mâle beauté avait mis le feu à ses sens le jour même où elle l’avait croisé, Laura, rejetant toute pudeur, se jeta ...
... plus qu’elle ne s’assit sur ses genoux, à la grande surprise du garçon. Saisissant à deux mains le visage de sa victime, elle s’empara goulûment de ses lèvres entre lesquelles elle infiltra sa langue souple et agile, avec laquelle elle entama un ballet terriblement sensuel. Telle une affamée, elle mit dans son baiser toute sa soif sexuelle, sa hargne de jouir, tandis que ses mamelons se gonflaient douloureusement et qu’entre ses cuisses le débit de sa fontaine intime s’amplifiait considérablement. Cela faisait plus d’un an qu’elle n’avait pas eu de rapport sexuel ; et encore, cela s’était passé de manière rapide, contre le mur du corridor. Ce jour-là, elle s’était offerte à un représentant Antillais qui était venu lui proposer des statuettes en faux bois d’ébène. Elle avait tellement aguiché le malheureux, par ses avances sexuelles, ses poses provocantes, que ce dernier complètement affolé l’avait prise debout, à même le mur du couloir ; et son vagin s’était souvenu longtemps de l’organe masculin qui l’avait pénétré. Doté d’un membre viril d’une impressionnante longueur, l’homme l’avait littéralement perforée de son pal de chair monstrueux. Du fait de son mètre quatre-vingt l’Antillais l’avait brutalement soulevé du sol en la pénétrant et elle s’était retrouvée les pieds battant l’air à dix centimètres du sol. Profondément empalée sur l’incroyable pieu de chair rigide, la seule solution qu’il lui était restée pour apprécier au mieux cette fougueuse pénétration avait été de ...