1. Le papyrus d'Anubis


    Datte: 06/07/2019, Catégories: fh, hotel,

    ... matin qu’elle ne portait qu’une simple culotte de coton blanc sous sa robe d’été. Elle me regardait aussi avec passion et nos mains se rejoignirent avec force. Nous quittâmes le Nile Hilton mus par l’envie irrésistible de faire l’amour. Notre hôtel était à Héliopolis et nous dûmes traverser tout le Caire dans un taxi qui ne possédait plus de son état d’automobile que la plaque d’immatriculation et l’indispensable klaxon ; j’avais l’impression de sentir la rugosité de l’asphalte directement sur mes fesses au travers de la peau décharnée de mon siège, chaque bosse, chaque cahot nous faisait rebondir sur le squelette métallique de la banquette arrière. Je savourais la dextérité avec laquelle notre chauffeur s’introduisait dans un mille-feuilles de véhicules. Dix fois je crus que la vieille carcasse métallique expirait, mais ce n’était qu’un collapsus sonore, tandis qu’avec un tremblement proche du frisson, l’arbre de transmission s’accouplait à l’embrayage dans un grand bruit de pet. Notre chauffeur léchant les pare-chocs, « queue-de-poissonnant », sautant d’interstice en interstice avec une vélocité incroyable, traversa la ville dans l’ignorance absolue des règles élémentaires de la conduite automobile et du respect dû aux piétons. Le taxi expira dans un grand hoquet devant le Méridien, nous eûmes l’impression d’arracher les portières pour sortir et enfin nous nous retrouvâmes dans notre chambre. Chantal s’enferma aussitôt dans la salle de bain. Elle y resta si longtemps que ...
    ... mon désir s’émoussa à force de regarder TV5 sur la télé de la chambre et que je dus frapper à la porte. — Entre, je suis prête, me cria-t-elle, entre c’est à ton tour. Je poussai la porte qui s’ouvrit sur un spectacle magnifique, tout ce temps avait été consacré à une épilation parfaite du corps de Chantal : tout était blanc, lisse, doux, ses cheveux avaient disparu, à leur place brillait l’ovale lisse et parfait de son crâne, les sourcils avaient été sacrifiés, bras et jambes étaient épilés et bien sûr le pubis et la vulve étaient glabres, découvrant une fente fine et ferme. Je sentis par la présence de l’esprit de Rahotep qu’il en allait ainsi chez les princesses de haut rang. Je m’approchais et laissais mes mains courir sur ce corps tellement nu. Mon désir grandissait, mais Chantal avait fait couler un bain dans lequel elle m’invita à me glisser. Elle me savonna avec art, ne négligeant aucune partie de mon corps. J’essayais de l’étreindre, lui agaçais les tétons, glissais mon doigt dans ses fesses, mais elle continuait, imperturbable. Quand elle eut fini, elle s’éloigna vers la chambre, revint avec une paire de ciseaux et entreprit de me couper les cheveux ; à aucun moment l’idée de protester ne me traversa l’esprit. Elle oeuvrait avec dextérité, et en peu de temps mes cheveux emplirent la baignoire. Elle paracheva son œuvre avec mon rasoir et de la mousse à raser, donnant à mon crâne la douceur souhaitée par les canons anciens. Je me mis debout dans la baignoire, elle me ...
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