Prêté par ma patronne
Datte: 08/07/2019,
Catégories:
hagé,
Collègues / Travail
volupté,
hsoumis,
fdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
portrait,
... nouveauté. ---oooOooo--- Isabelle, lorsqu’elle revint dans sa chambre au soir, pour se coucher, eut une impression bizarre, à partir de quelques détails infimes : un tiroir mal refermé, une chaise déplacée quelque peu. Quelqu’un avait pénétré son intimité. En allant chercher une culotte pour le lendemain dans son tiroir, tout s’éclaira soudain : ce cochon d’Alexandre, son petit employé, avait osé enfouir son groin dans ses culottes. Elle pensa : « Petit salaud, dès la première semaine, dès le premier jour où je m’absente ! Tu vas me le payer, petit vicieux. Ma sœur m’avait dit que tu étais docile, que tu ferais mes quatre volontés, et voilà que tu oses pénétrer dans ma chambre ! ». Mais malgré sa colère, elle était flattée que cet homme cherche son odeur dans ses sous-vêtements, elle comprenait que c’était aussi une marque d’adoration, et commençait à se dire qu’elle pourrait en profiter. Mais pour l’instant il s’agissait de marquer le coup, de montrer qui était la maîtresse et qui était l’esclave, puisque dorénavant il s’agissait bien de cela. En même temps elle se sentait gênée, car ces pratiques étaient contraires à tout ce que sa mère et les sœurs qui avaient ...
... construit son éducation lui avaient enseigné : la chasteté, la procréation dans le mariage et rien de plus. Il n’empêche que le soir elle eut le plus grand mal à ne pas glisser sa main sous sa chemise de nuit pour se caresser en pensant : « Petit esclave, tu m’excites quand même beaucoup, je ne dois pas céder mais tu me fais mouiller… ». Elle résista cependant à cette envie qui montait dans son ventre, dans la pointe de ses seins. ---oooOooo--- Le lendemain, malgré ses résolutions de la veille, elle fit comme si rien ne s’était passé, et la journée se passa à travailler comme précédemment. Mais elle voulait en avoir le cœur net, voir si elle n’avait pas imaginé ce qui n’était pas, et elle se décida à renouveler l’expérience et à s’absenter à nouveau le lendemain. Pour être certaine de ne pas se tromper, elle laissa ses sous-vêtements portés de la veille bien évidence sur son lit, en les repérant par rapport au motif du couvre-lit, et elle avertit sa femme de ménage de laisser sa chambre pour cette fois. Le lendemain, le piège était prêt à fonctionner. Elle m’avertit qu’elle devait à nouveau s’absenter deux heures : j’allais me faire prendre le nez dans ses culottes…. (À suivre)