1. La déception pousse vers des voies étroites


    Datte: 09/07/2019, Catégories: fh, fsoumise, soubrette, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique,

    ... trop souffert, hors ses dessous qu’elle abandonne. Elle va pour sortir de maudit lieu, mais il l’arrête : — Attendez ! Il ne faut pas perdre le bénéfice de cette première monte. Elle n’a pas le temps de réagir qu’il enchaîne : — Aux chevaux après le débourrage initial, il peut être bon de laisser le harnachement. C’est souvent bénéfique. Je crois que ce le serait aussi pour vous.— Qu’entendez-vous par là ? demande-t-elle aussi inquiète que soupçonneuse.— Je ne puis vous laisser mon vit, ne pouvant m’en séparer, mais l’on va y remédier. Troussez votre robe.— Vous plaisantez !— Troussez !— Ne croyez-vous pas…— Troussez !— Mais…— Troussez, vous dis-je. Et joignant le geste à la parole commence de procéder lui-même. Elle capitule et trousse. Il lui demande de se pencher et s’empare d’un fouet. — Vous n’allez pas…— Vous fouetter. Certes non ! Peut-être une autre fois si il vous plaît. Il appuie fermement sur son épaule pour la faire se courber, oint ensuite le manche avec le reste de l’onguent et l’enfonce dans le fondement de la marquise en lui recommandant de se décontracter, ce qu’elle fait de son mieux. Le pommeau de plus de deux pouces de diamètre est un peu dur à absorber, ensuite cela est plus aisé. Quand les sept pouces du manche ont disparu, Charles fait passer la mèche entre les jambes et l’enroule autour de la taille et finit par un nœud qui maintient le manche en place. Il rabat alors sa robe et galamment prend son bras pour la raccompagner jusqu’à chez elle. Les cinq ...
    ... palefreniers regardent s’éloigner le couple en faisant force commentaires sur les prestations de la Marquise de Pierrenoire qui de l’avis unanime est une fort belle garce, qui moyennant quelques protestations de pure forme, se laisse enculer dans des écuries et qui repart sans rechigner avec un manche de fouet de bonne taille enfoncé jusqu’à la garde dans le cul. Voilà une histoire qui va animer les conversations dans les estaminets et les chaumières pendant un certain temps. Au grand dam d’Anaïs, pour la reconduire, Charles use d’un chemin certes plutôt direct, mais où les rencontres sont nombreuses. Il ne manque de saluer personne, d’engager la conversation, de la faire durer. Au cours de l’une d’elles, un comte, fort courtoisement, cède sa place sur un banc. Elle n’ose refuser, et se voit contrainte de s’asseoir avec moult précautions. Le manche dans ses entrailles n’est pas fait pour lui faire préférer la position assise. Elle n’a qu’une hâte, pouvoir se lever et rentrer chez elle où elle pourra enfin retirer l’objet et prendre un bain. En plus toutes ces rencontres l’empêchent de faire parler le vice-amiral. Ils mettent quasi deux heures pour arriver à destination. Aussitôt elle ordonne à Marguerite, sa femme de chambre, de lui préparer un bain. En attendant, ils devisent, et il prend un malin plaisir à parler de tout sauf de ce qu’elle espère l’entendre parler. Quand la camériste vient lui annoncer que c’est prêt, Charles va pour se retirer. Elle le retient et le prie ...
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